Mes 9 astuces pour retrouver son estime de soi

A propos de l’estime de soi

Nous avons souvent tendance à vouloir être parfait. On se compare aux autres et on n’est jamais assez bien, pas assez comme eux. C’est normal, parce que nous sommes nés pour être nous, par pour être l’autre.
Mes impecfections font ma perfection. Mes amis m’aiment parce que je ne suis pas comme les autres, parce que je suis moi même et mes défauts, mes traits de caractères imparfait font toute ma personnalité. Je suis heureuse que personne d’autre n’ait exactement les mêmes défauts que moi, et c’est ce qui fait de moi une personne parfaite, comme toi !

Souviens toi que tu es le vainqueur d’une course de quelques miliers de soldats qui se dont dirigés vers cet ovule à féconder. C’est toi qui a gagné, c’est toi le plus rapide. Bravo !
Souviens toi que tu es une personne merveilleuse qui cache une infinité de ressources et de richesses. Nous sommes très impatients et curieux de découvrir ces trésors, dès que tu te sentiras capable de nous les partager. En attendant, tu as besoin de rebooster ta confiance en toi ? Voici quelques astuces pour t’aider à la cultiver.

Jardiner

Arroser des plantes, les voir fleurir et grandir enrichit notre journée. On ressent dessuite un sentiment de gaité quand un bouquet de fleur décore notre salon. Quelle joie quand la plante grasse oubliée sur la télévision donne une fleur. Et quand l’orchidée décide de renaître après l’hivers. Rempoter, nettoyer, arroser, caresser, encourager. Les plantes ont besoin de nous et de notre attention pour pousser. La nature s’occupe du reste. Jardiner c’est une façon très simple de se sentir utile et de se rendre compte que nos actions portent des fruits, c’est le cas de le dire.

Faire germer des graines

ça rejoint un peu le point précédent. C’est encore plus facile que jardiner. Pour faire pousser des graines germées, pas besoin de se salir les mains avec de la terre. Attrape une poignée d’amandes, de graines de tournesol ou de lentilles dans ton placard. Fais les tremper une nuit, puis rince les deux ou trois fois par jours. En moins d’une semaine, de belles petites pousses sont nées car tu t’en es occupé. Bravo ! Elles décoreront ton assiette, tes salades et te remercieront en te donnant plein de vitamines et de nutriments.
Tu peux aussi t’amuser à faire pousser tes noyaux d’avocat, de cerise, d’abricot. Bref la liste est longue. Tu trouveras des mélanges de graines à germer pour tes salades dans toutes les boutiques bio. Avec un paquet à 3 euros, tu devrais en avoir pour un an.
C’est abordable l’estime de soi, n’est-ce pas ?

Faire une to-do liste

Je te conseille vivement de te fixer 3 objectifs par jour, les écrire sur un cahier et les cocher en fin de journée. C’est un petit exercice tout simple mais qui marche tellement bien. Dès que tu as fait tes 3 tâches, alors tu es autorisé à rêver, t’amuser ou ne rien faire. Même si tu termines tes trois tâche à 10h du matin, bravo ! Tes tâches peuvent être plus ou moins longue et plus ou moins motivantes. C’est pas grave. Ce qui importe, c’est que tu te fixes des objectifs à la hauteur de là où tu en es aujourd’hui, avec ton estime de toi aujourd’hui. Ni trop haut, ni trop bas.
Ecris tes objectifs ce soir pour demain. Et demain soir coches bien tes tâches.

Ecrire les pages du matin

J’ai déjà écris plusieurs articles sur le sujet. J’en ai aussi parlé dans plusieurs de mes vidéos sur Youtube. Cette petite habitude matinale permet de vider ta tête du disque des pensées négatives qui tournent en boucle pour te lâcher les basckets le restant de ta journée. En refermant mon cahier tous les matins, je me sens tellement fière de moi. Je suis encore en pyjama, je n’ai pas encore bu mon café et mes cheveux sont en bataille. J’ai déjà fait une chose de bien, ma journée est déjà productive. Yeah !

Dessiner un mandala

Pourquoi personne ne m’avait donc dit que c’étais si facile ?! Pas besoin d’acheter un cahier de coloriage à la mode, ni de refaire ton stock de feutres. Un papier et un stylo noir seront parfait. Commence par faire un petit cercle ou un escargot au centre de ta feuille. Puis laisse toi aller, dessine des formes géométriques autours. Souviens toi, les impecfections font ta perfection. Dans quelques minutes tu obtiendras un dessin tellement beau. Tu ne savais pas toi même que tu étais capable d’un tel chef-d’oeuvre. Bravo !

Cuisiner ton plat préféré

Les anglophones appellent ça de la « confort food », ce plat qui te fait te sentir à la maison. Un peu de cocooning fait du bien. Tu rêves des crêpes de la fête foraine, du pain perdu de ta grand-mère, de la blanquette de veau de maman ? Aller, allume tes fourneaux et cajole toi avec un bon petit plat. Ou encore mieux, partage le avec un proche. L’occasion de partager cet exploit, une de tes créations.

Tricoter une écharpe

Cet exercice n’est pas réservé aux filles. Bien au contraire. Les hommes aussi tricottent et adorent porter une belle écharpe l’hivers. Tu es débutant(e) ? C’est pas grave, il existe une technique qui requiert deux bras (les tiens), deux pelotes de très grosse laine et 25 minutes de ton temps. Fastoche, non ?
En plus on dit que le tricot c’est bon pour le bonheur, la relaxation du mental et plein d’autres trucs cool. (source)
Laisse moi te dire qu’après avoir tricotter ta première écharpe tout seul, tu te sentiras bien fière(e) de toi en la portant. Ton estime de toi va grimper en flèche !

Se féliciter

A la fin de la journée, constate tout ce que tu as réalisé. Rapelle toi tous les coups de mains que tu as donné aux personnes que tu as croisé. Ce sourire que tu as fait à la mamie dans le bus, tu lui a égeillé la journée. Un excercice intéressant est celui de te féliciter par des phrases positives en te regardant dans le miroir. Tu te sentira peut-être ridicule les trois premiers jours, mais plus tu fais l’excercice plus tu augmentes ton amour propre. Si tu souhaites aller plus loin, je te conseille le livre de Louise Hay « Transformez votre vie » . Il a vraiment transformé la mienne quand j’étais au plus bas de mon estime de moi.

S’offrir un cadeau

Achète toi un truc qui te donne le sentiment du luxe. Offre toi un truc que tu ne t’autorises pas habituellement. Pour moi c’est un petit carnet de notes d’une marque haute couture finlandaise. Il m’a couté 3 euros, et me transporte dans la sphère du luxe à chaque fois que je le vois. Tu peux t’offrir un cinéma, un repas dans un bon restau, un café dans un hôtel 5 étoiles, une balade en taxi, une nuit dans un appartement de luxe, un porte clé ferrari. Ca peut aussi être un cahier de coloriage ou une belle plante. Laisse parler ton coeur.

 

 

J’espère que tu te donneras une chance. Que tu t’autoriseras à faire au moins 3 de ces actions cette semaine, pour commencer à te sentir mieux. Moi je crois en toi et je sais que si tu t’y autorises, tu es capable de faire de belles et grandes choses. Peut-être qu’une fois que tu as testé toutes les choses de cette liste, tu essaiera de faire quelquechose de complètement délirant. Teste un truc nouveau, une activité que tu n’as jamais faite dans ta vie. Reprends une passion que tu as laissé de côté depuis des années. Réalise ton rêve. Dans quelques semaines tu seras tellement fier de toi ! Moi aussi, je serai fière de toi.

Aller, au boulot !
Je crois en toi.

Apporter sa contribution à ce monde

La semaine dernière, un lecteur nommé Yassine m’a posé une question au sujet du sens de la vie, et j’ai envie de lui répondre par cet article.

Et si nous étions nés pour une raison bien précise ? Et si notre vie avait une mission ? Celle d’apporter notre contribution à ce monde ? Si c’était le cas, alors tout prendrait sens. Si c’était le cas, nous comprendrions le sens de la vie.

Avons-nous vraiment une mission de vie ? Notre destin est-il dessiné avant notre naissance ? Qui peut vraiment le savoir ? Mais est-ce si important que ça ? Finalement, si savoir que notre vie a un sens nous rend plus heureux, alors restons-en là. Le principal dans la vie, c’est bien d’être heureux, non ?
Ou alors, notre quête du bonheur nous mènerait peut-être vers notre réalisation. Et une fois que nous serions réalisés pleinement, nous serions capable d’apporter notre contribution à ce monde ?

Si je te parle de ce sujet aujourd’hui, c’est qu’il m’apparaît désormais comme une évidence. Toutes les routes, toutes mes réflexions aboutissent à cette même conclusion :

Notre expérience doit être transmise, notre connaissance doit être partagée, c’est là le sens de la vie.

Le monde évolue constamment, et pourquoi ? Et bien parce que chaque être humain doté d’un cerveau qui a marché sur notre planète y a apporté sa contribution. Depuis la nuit des temps. Chaque découverte, chaque expérimentation a enrichit les connaissances de l’Homme. L’inconscient collectif se nourrit des histoires de chacun de nous, il apprend avec nous tous.

Nous avons la chance de vivre à une époque où la contribution est reconnue et banalisée. On parle de contribution scientifique lorsqu’un chercheur découvre une nouvelle théorie. On parle de contributeurs sur Youtube, sur Wikipedia, sur la Blogosphère. Chacun contribue au bonheur d’une famille de paysan, à la hauteur de quelques centimes payés pour un paquet de café commerce équitable. L’économie participative est en plein essort. Internet est une grande place de marché où chacun ose maintenant contribuer, apporter sa pierre à l’édifice et partager ce qu’il sait.

J’adore les conférences Ted car elles nous aident à prendre conscience que chacun, quelque soit son parcours, son expérience, son âge, son handicap est capable de nous enseigner quelquechose. Un américain sur mon écran qui me transfère 18 minutes d’espoir et de sourire a largement contribué au bonheur de ma journée.

Comment contribuer ?

Commence par prendre conscience de tout ce que tu sais déjà. La vie t’a offert des milliers d’opportunité d’apprendre. Tu as bien appris les choses que d’autres hommes t’ont enseignés, mais tu as aussi découvert plein de choses par toi même. A chaque fois que tu pose ton regard, tu interprète la réalité qui t’entoure de ton point de vue. Un point de vue qui est orienté par ta personnalité, ton vécu et tes centres d’intérêts.

Ton chemin de vie est la trame qui constitue tout ce que tu es. Personne d’autre que toi n’a suivi exactement le même chemin de vie. Personne d’autre que toi ne vient de là d’où tu viens et ne va là ou tu vas. Personne d’autre que toi ne regarde la réalité comme toi. Tu es unique. Ta contribution est unique.

Authenticité

Alors comment peux-tu contribuer et apporter ta pierre à l’édifice ? Tout simplement en étant toi même. C’est déjà énorme. Oser être toi même, avec ton point de vue, tes habitudes, tes croyances c’est contribuer à l’enrichissement de ce monde. Il ne faut vraiment pas sous-estimer cette partie la. En étant toi même, différent de ton voisin, tu autorises l’autre à en faire de même. Ta vie est déjà une contribution dans ce grand système.

Choix

Tes choix peuvent être une façon consciente de contribuer. Et on assiste de plus en plus à une prise de consicence généralisée. Nous comprenons maintenant que notre pouvoir d’achat est une contribution autant voire plus importante que le droit de vote. Le choix de nos pensées est aussi une contribution importante. Tous les jours, choisir de rayonner l’amour et la paix au lieux de la peur a des conséquences énormes autour de nous.

 

Parole & Créativité

Finalement, tu peux aussi prendre la parole et exprimer ton opinion. Tu peux transmettre conscienment et dans tes actes ton enseignement. Tu peux écrire des livres, animer des conférences, enseigner à l’université, rédiger des articles en ligne, partager des images, photographier la vie, peindre, colorier, photoshoper, découper, jouer, inventer, filmer, zoomer, décalquer, modifier, déconstruire … L’art est une façon de prendre la parole et de transmettre. Toute forme d’art. La conversation est un art et un don.
Avant de nous quitter, mon grand père (un paysan sur son âne devenu éboueur en mercedes), qui nous a déjà tellement transmis de son vivant a décidé de réaliser l’un de ces rêves : écrire son autobiographie et l’envoyer au roi d’Espagne. Qu’elle belle façon de revisiter une vie entière d’apprentissage et de reformuler l’essence.

 

Ce que j’adore dans le mouvement d’apporter sa contribution à l’humanité, c’est justement le fait d’être en mouvement. Un mouvement de croissance. C’est une action qui nous fait grandir, et donc qui va dans le sens de la vie. Comme une plante qui se ramifie au fûr et à mesure qu’elle capte de l’eau et de la lumière. La vie est croissance, et changement. Accepter d’y contribuer est un choix conscient ou non, mais un choix quand même de participer à la croissance de la vie. Nous construisons.

La vie t’a offert plein de talents, de dons et d’opportunité d’apprendre. Rend lui tous ces cadeaux en apportant à la vie ce qu’elle t’a enseigné, transmet le, partage le. Nous n’attendons qu’une chose, c’est ta contribution. Merci.

Love.

Apporter sa contribution à ce monde

La semaine dernière, un lecteur nommé Yassine m’a posé une question au sujet du sens de la vie, et j’ai envie de lui répondre par cet article.

Et si nous étions nés pour une raison bien précise ? Et si notre vie avait une mission ? Celle d’apporter notre contribution à ce monde ? Si c’était le cas, alors tout prendrait sens. Si c’était le cas, nous comprendrions le sens de la vie.

Avons-nous vraiment une mission de vie ? Notre destin est-il dessiné avant notre naissance ? Qui peut vraiment le savoir ? Mais est-ce si important que ça ? Finalement, si savoir que notre vie a un sens nous rend plus heureux, alors restons-en là. Le principal dans la vie, c’est bien d’être heureux, non ?
Ou alors, notre quête du bonheur nous mènerait peut-être vers notre réalisation. Et une fois que nous serions réalisés pleinement, nous serions capable d’apporter notre contribution à ce monde ?

Si je te parle de ce sujet aujourd’hui, c’est qu’il m’apparaît désormais comme une évidence. Toutes les routes, toutes mes réflexions aboutissent à cette même conclusion :

Notre expérience doit être transmise, notre connaissance doit être partagée, c’est là le sens de la vie.

Le monde évolue constamment, et pourquoi ? Et bien parce que chaque être humain doté d’un cerveau qui a marché sur notre planète y a apporté sa contribution. Depuis la nuit des temps. Chaque découverte, chaque expérimentation a enrichit les connaissances de l’Homme. L’inconscient collectif se nourrit des histoires de chacun de nous, il apprend avec nous tous.

Nous avons la chance de vivre à une époque où la contribution est reconnue et banalisée. On parle de contribution scientifique lorsqu’un chercheur découvre une nouvelle théorie. On parle de contributeurs sur Youtube, sur Wikipedia, sur la Blogosphère. Chacun contribue au bonheur d’une famille de paysan, à la hauteur de quelques centimes payés pour un paquet de café commerce équitable. L’économie participative est en plein essort. Internet est une grande place de marché où chacun ose maintenant contribuer, apporter sa pierre à l’édifice et partager ce qu’il sait.

J’adore les conférences Ted car elles nous aident à prendre conscience que chacun, quelque soit son parcours, son expérience, son âge, son handicap est capable de nous enseigner quelquechose. Un américain sur mon écran qui me transfère 18 minutes d’espoir et de sourire a largement contribué au bonheur de ma journée.

Comment contribuer ?

Commence par prendre conscience de tout ce que tu sais déjà. La vie t’a offert des milliers d’opportunité d’apprendre. Tu as bien appris les choses que d’autres hommes t’ont enseignés, mais tu as aussi découvert plein de choses par toi même. A chaque fois que tu pose ton regard, tu interprète la réalité qui t’entoure de ton point de vue. Un point de vue qui est orienté par ta personnalité, ton vécu et tes centres d’intérêts.

Ton chemin de vie est la trame qui constitue tout ce que tu es. Personne d’autre que toi n’a suivi exactement le même chemin de vie. Personne d’autre que toi ne vient de là d’où tu viens et ne va là ou tu vas. Personne d’autre que toi ne regarde la réalité comme toi. Tu es unique. Ta contribution est unique.

Authenticité

Alors comment peux-tu contribuer et apporter ta pierre à l’édifice ? Tout simplement en étant toi même. C’est déjà énorme. Oser être toi même, avec ton point de vue, tes habitudes, tes croyances c’est contribuer à l’enrichissement de ce monde. Il ne faut vraiment pas sous-estimer cette partie la. En étant toi même, différent de ton voisin, tu autorises l’autre à en faire de même. Ta vie est déjà une contribution dans ce grand système.

Choix

Tes choix peuvent être une façon consciente de contribuer. Et on assiste de plus en plus à une prise de consicence généralisée. Nous comprenons maintenant que notre pouvoir d’achat est une contribution autant voire plus importante que le droit de vote. Le choix de nos pensées est aussi une contribution importante. Tous les jours, choisir de rayonner l’amour et la paix au lieux de la peur a des conséquences énormes autour de nous.

 

Parole & Créativité

Finalement, tu peux aussi prendre la parole et exprimer ton opinion. Tu peux transmettre conscienment et dans tes actes ton enseignement. Tu peux écrire des livres, animer des conférences, enseigner à l’université, rédiger des articles en ligne, partager des images, photographier la vie, peindre, colorier, photoshoper, découper, jouer, inventer, filmer, zoomer, décalquer, modifier, déconstruire … L’art est une façon de prendre la parole et de transmettre. Toute forme d’art. La conversation est un art et un don.
Avant de nous quitter, mon grand père (un paysan sur son âne devenu éboueur en mercedes), qui nous a déjà tellement transmis de son vivant a décidé de réaliser l’un de ces rêves : écrire son autobiographie et l’envoyer au roi d’Espagne. Qu’elle belle façon de revisiter une vie entière d’apprentissage et de reformuler l’essence.

 

Ce que j’adore dans le mouvement d’apporter sa contribution à l’humanité, c’est justement le fait d’être en mouvement. Un mouvement de croissance. C’est une action qui nous fait grandir, et donc qui va dans le sens de la vie. Comme une plante qui se ramifie au fûr et à mesure qu’elle capte de l’eau et de la lumière. La vie est croissance, et changement. Accepter d’y contribuer est un choix conscient ou non, mais un choix quand même de participer à la croissance de la vie. Nous construisons.

La vie t’a offert plein de talents, de dons et d’opportunité d’apprendre. Rend lui tous ces cadeaux en apportant à la vie ce qu’elle t’a enseigné, transmet le, partage le. Nous n’attendons qu’une chose, c’est ta contribution. Merci.

Love.

Augmenter sa visibilité sur internet en 8 étapes

Quand on crée son business, il est toujours intéressant de créer un site internet pour avoir une carte de visite, une vitrine à visiter. Le site internet est devenu incontournable. On dit souvent « Si tu n’existe pas sur Google tu n’existes pas ». Mais c’est pas tout d’avoir un site internet, il faut aussi qu’il soit visité, visualisé, lu.

Aujourd’hui, j’ai envie de répondre à la question d’Eve Rose, Psychologue en ligne. Eve m’a demandé comment augmenter sa visibilité sur internet quand on a créé son site web. Voici ce que je lui ai répondu pour l’aider.

 

8 étapes pour augmenter la visibilité de ton siteweb

Les mots clés

Ce sont ces expressions que les personnes qui te cherchent vont taper sur leur moteur de recherche. Si tu t’appelles « Coup’tiff » et que tu es un salon de coiffure à Orléans, alors Coup’tiff n’est pas un mot clé. Les personnes qui te cherchent ne savent pas encore que tu existe, ni quel est le nom de ta société. Ce qu’ils cherchent sur Google c’est « Coiffeur Orléans » .
Prends un bon thé chaud, une feuille et un stylo et laisse toi submerger par l’inspiration. Ecris tous les mots que ton client cible va chercher avant de tomber sur ton site, qui répondent exactement à son besoin.

Ecrire des articles de blogs

Un blog bien référencé et alimenté régulièrement est la stratégie idéale pour faire copain-copain avec le Grand Google. Le moteur de recherche dispose d’un algorithme complexe pour classer les sites internet les plus pertinents pour l’internaute-chercheur. Pour lui faciliter la tâche, montres-lui que ton site est régulièrement mis à jour, qu’il peut être référencé sur plusieurs mots-clés.
La technique est simple, mais il faut le savoir. Prend ta liste de mots-clés et écris un article par mot clés. Ajoutes ton expression dans le titre, dans le lien URL de l’article (identifiant, ou slug), dans les métadonnées (la description de ton article qui apparaît dans la recherche), dans le titre de l’image …
Pour être crédible aux yeux de Google, un article doit faire plus de 300 mots. S’il en fait 1000 et que tu as réussi à insérer quelques expressions clés dans le texte, alors chapeau !

Référence tes images

Si sur chaque article tu publie une image et que le titre de ton image est le mot clé de ton article, alors non seulement tu améliores le référencement de ton article, mais en plus tu augmente le nombre de chances qu’on te trouve. Toutes les images des articles sont référencées dans Google Image, un moteur de recherche de plus en plus utilisé.

Publie des vidéos sur Youtube

Youtube est la plateforme vidéo de Google. Et Google est le moteur de recherche le plus utilisé. Si une vidéo est bien référencée sur Youtube, elle est mise en avant sur Google automatiquement. Pour certaines personnes il est plus facile de créer du contenu vidéo qu’écrit. Une vidéo peut être : une interview, une personne parlant devant son smartphone, un montage de photos et phrases avec une musique, une capture d’écran d’ordinateur, une animation type dessin animé. C’est un format riche et qui laisse place à beaucoup de créativité. L’avantage c’est que, c’est aussi un format facile à consulter.

Forums

Etre actif sur les forums, sur les réseaux sociaux et dans des groupes de discussion de sujets qui te passionnent. Tu adores parler de psychologie, il y a forcément des salles de discussion sur internet dans lesquelles tu participes, tu lis régulièrement. Sur Facebook, Linkedin, Video, dans une communauté en ligne, sur une plateforme d’échange. Creuse toi la tête. Prends le temps de commenter, ajoute des commentaires instructifs pour les prochains lecteurs. Ils se familiariseront avec ton nom. Insère le lien vers ton blog en signature des commentaires. L’avantage quand on fait un métier-passion, un métier qui nous permet d’être 100% nous même, c’est qu’on peut profiter de tous nos contacts, nos relations déjà tissées pour se faire connaître. On ne doit jamais recommencer de zéro.

Publicité Google Adwords ou Facebook Ads

Ce sont des bons moyens d’amener des personnes sur ton site internet avec des petits budget. Cela demande un peu de formation et de technique. C’est une solution idéale si tu as de l’argent et pas trop de temps pour écrire plein d’articles de blog. Il faut obtimiser une Landing Page (page d’aterrissage) pour acceuillir les visiteurs qui ont cliqué sur la publicité. Avant de passer à cette étape, je te recommande de bien penser ta stratégie de circulation du visiteur. D’où viennent tes visiteurs et où veux-tu les amener ?

Te faire interviewer

Tu as un site internet, tu as un métier. Tu es donc forcément expert dans un domaine. Si on t’interviewe sur en vidéo ou par écrit, et qu’on insère un lien vers ton site, tu gagne en visibilité. Ton message touche un autre public, celui de la personne qui t’interviewe.
Tu peux aussi écrire pour d’autres blog, être chroniqueur dans ta spécialité.

Echanges de liens

Tu peux aussi faire des partenariats avec d’autres bloggeurs. Vous vous mettez d’accords pour faire des échanges de lien : « je colle ton lien sur mon blog si tu colles le mien sur ton blog » ça augmente la crédibilité de ton site aux yeux de Google. L’idéal c’est que le lien soit collé sur un mot qui est en fait ton mot clé principal.

Voilà, j’espère que ces astuces t’aident à mettre en place quelques réflexes simples pour booster ta productivité et augmenter la visibilité de ton site internet.
Si tu as d’autres questions, pose les dans les commentaires.
Je t’embrasse fort !

Naître bilingue

J’ai toujours aimé voyager. Je penses que je l’ai déjà un peu dans mon ADN.

Le voyage dans le sang

Je suis moitié française, moitié espagnole. Mes grands parents sont venu en France pour leur nuit de noce. Ils n’en sont jamais partis. J’ai une double culture, une double identité. Tous les étés, on traversait la frontière pour aller voir les cousins au village. Un peu comme les marocains qui traversent la péninsule ibérique en voiture chargée à bloc pour aller au bled.

A la maison on parle français et espagnol. Ou plutôt on parle frangnol, parce qu’avec les années les grands parents ne font plus vraiment la différence entre les deux langues. C’est un joli mélange de couleurs et de saveurs, riche en accent.

Quand j’étais petite on me donnait des pesetas pour m’acheter des bonbons pendant les fêtes, mais on m’en donnait toujours trop. D’une année sur l’autre je ne pouvais pas dépenser tout cet argent, parce qu’en France on utilisait le franc. C’était de l’argent que pour les vacances. L’arrivée de l’euro, à l’adolescence, a changé beaucoup de choses.

Je crois que j’ai mis 20 ou 28 ans à comprendre ce que ça veut vraiment dire d’avoir une double culture. A comprendre que mes grands-parents ne savent pas vraiment parler français. Et que leurs expressions en espagnol commencent un peu à dater de l’avant guerre. Mais au fur et à mesure que je fais des aller-retours entre le sud et le nord des Pyrénées, je commence à comprendre des choses. Je nous observe d’un point de vue externe. Je rigole souvent quand je me rend compte que ma mamie est un peu comme les mamies juives dans les films.

Mon pays

Quel est mon pays ?
– « Papi, en France on nous appelle les espagnols, et au village on est les français. Mais nous on est français ou on est espagnol ? »
– «  Eres un poco de los dos, tu prends le meilleur de chaque culture, ch’est meilleur commé çha ! »

Je penses qu’inconsciemment, j’ai toujours considéré que mon pays c’est la région des Pyrénées. La frontière nord s’arrête à Bordeaux, la frontière sud à Madrid, qui en est la capitale. Avant l’âge de 25 ans, j’ai passé beaucoup plus de temps à Madrid qu’à Paris. Maintenant j’ai peut-être équilibré les deux capitales ? Mais c’est pas très important.

Pour moi, mes concitoyens, les vrais : c’est ceux qui parlent français et espagnol. Ceux qui comprennent le frangnol de papi. Eux, ils ont une culture qui ressemble à la mienne. J’ai mis longtemps à m’apercevoir que cette communauté là n’est finalement pas si large que ça, et que j’ai baigné dedans sans m’en rendre compte.

Il y a plusieurs avantages à naître dans une double culture :

  • Les enfants apprennent plus vite des langues étrangères. On m’a toujours dit « Si tu connais deux langues latines, la troisième est offerte » Et c’est vrai. Aujourd’hui je parle 5 langues, et je comprends facilement les langues latines dans lesquelles je baigne quelques jours.
  • Les enfants bilingues sont plus facilement amenés à ressentir de l’empathie envers l’autre. Il se met dans ses bottes. Ils sont habitués à se trouver dans des situations où l’interlocuteur ne comprends pas tout ce qui se dit. Ils ont l’habitude de faire un effort pour traduire et se faire comprendre en fonction des connaissances de l’interlocuteur.
  • L’enfant avec une double culture part dans la vie avec une zone de confort deux fois plus grandes que les autres. Il est habitué à se trouver dans des situations où il ne maitrise pas tout, il ne comprends pas tout. C’est peut-être un peu plus long au départ, mais arrivé à l’âge adulte c’est une telle richesse !
  • Les enfants bilingues sont meilleurs en mathématiques.
    C’est étrange n’est-ce pas ? Mais en effet dans mon lycée bilingue, la plus part d’entre nous avons choisit un cursus scientifique au lieu d’aller à la facilité vers les langues. C’est simplement dût au fait que l’on est plus à l’aise avec l’abstrait et le passage de l’abstrait au concret. Par exemple transformer une formule d’algèbre en graphique, c’est de la traduction.
  • On a le choix de la culture que l’on souhaite adopter principalement en fonction de notre personnalité. Il n’est pas rare de voir dans une fratrie un frère plus français que l’autre. C’est étonnant, mais tellement naturel de se rapprocher de l’ambiance dans laquelle on se sent bien.
  • L’erasmus est un choix logique pendant les études. Je ne sais pas ce que je veux étudier, mais ce sera en Erasmus. J’ai besoin de rencontrer d’autres jeunes comme moi, qui parlent plusieurs langues.

Si j’ai un conseil à donner aux parents c’est de donner la possibilité dès que possible à l’enfant de parler deux langues (ou 3 ou 4). Avant l’âge de 7 ans, les enfants sont des éponges, ils comprennent très vite. Chaque parent du couple peut parler une langue à l’enfant. La nounou aussi, ou une fille au pair, des professeurs …

Bref, je comptais écrire un article sur le voyage en général, et au fur et à mesure des lignes c’est de ma famille dont je te parle. Je te raconterai une autre fois comment j’ai été piquée par le virus du voyage et en quoi mes séjours à l’étranger m’ont beaucoup appris. Je ne serai pas moi si je n’avais pas vécu 5 ans à l’étranger.

La transformation digitale fait-elle évoluer l’entreprise ?

Pendant trois ans j’ai travaillé auprès des cadres et dirigeants pour les conseiller sur leur stratégie de digitalisation. J’ai eu la chance d’observer de près leurs préocupations ainsi que celles de leurs collaborateurs. J’ai découvert avec surprise des mécanismes ancrés dans leur fonctionnement depuis des années. J’ai aussi observé l’impact de nouvelles habitudes sur leur systhème de croyance et leur vision du travail.

Pourquoi digitaliser l’entreprise ?

En général les organisations venaient vers nous pour des requêtes assez simple. « On veut passer moins de temps dans notre boîte mail, on souhaite diminuer le temps de réunion, on offrira un service plus digital à nos clients, on souhaite partager un document, avoir une gestion de projet collaborative »

Nous résolvions les problèmes techniques, obtimisions les flux de communication, générions des économies de temps et d’argent grâce à des applications mutualités et synchronisées. C’est agréable de voir des étincelles dans le regards de ses clients, derrière leur webcam.

J’étudiais leurs outils, leurs processus, leurs flux de communication. Tous les échanges interne, officiel et officieux étaient évoqués. C’est passionnant de comprendre comment fonctionnent les humains. Les dynamiques de groupe. Les mécanismes de défense. Les habitudes relationnelles. Les habitudes culturelles. Les codes de déontologie. Les dress-code.

Parfois j’avais l’impression d’avoir livré et monté une machine à remonter le temps ou une cabine de télétransportation dans leur salon. C’est incroyable comme un moteur de recherche ou un document partagé en temps réel peuvent changer la vie des gens. J’aime changer la vie des gens, j’aime leur simplifier la vie.

Ca tourne pas rond là dedans

Mais parfois je me demande, comment en sont-ils arrivé là ? Qu’ont-ils dû subir dans leur vie pour arriver à penser ainsi ?
Certains écrivent des informations dans des tableaux de repportings toutes les semaines. Et personne ne consulte jamais ces tableaux. Une standardiste note sur un post-it puis repporte dans une liste tous les appels entrants, et personne ne consulte cette liste. Les travailleurs sont plus concentrés sur les objectifs chiffrés qu’ils doivent atteindre pour obtenir leur prime en fin de mois que sur la qualité de leur travail, le plaisir de faire une tâche qu’ils aiment ou le service client.

Ce que le digital change

Alors le monde du digital n’élimine pas tous les problèmes de l’entreprise. Mais il apporte de nouvelles habitudes de communications qui à mon sens apportent quelques enrichissement pour ces organisations et leurs membres.

  • La culture du partage : On arrête de jouer au ping-pong par e-mail en s’envoyant les tâches et les dossiers. « C’est toi le dernier qui a pas répondu. » et on apprend à être responsable ensemble d’un dossier. J’apprends à être généreux, partager l’information dont je dispose pour que mes collèguent aient les moyens de travailler convenablement. Et j’obtiens moi aussi plus facilement l’information dont j’ai besoin.
  • L’économie de temps et d’énergie : On trouve les documents beaucoup plus facilement. Quelques mots sur un clavier et je retrouve mon mail sans avoir à chercher dans des montagnes de dossiers classés par ordre alphabétique. 
  • La résolution de problème : L’habitude d’aller chercher les réponses à ses questions. Avant internet, avant le smartphone, on faisait comment quand on avait une question ? Par exemple à table, une question surgit dans la conversation sur le nom d’un personnage célèbre ou la définition scientifique d’un concept. Qui s’est déjà levé pour aller chercher la réponse dans l’encyclopédie ? Aujourd’hui en quelques clics on obtient des réponses à tout. Ce que soit sur des modes d’emploi, des façons de faire, l’organigramme de l’entreprise. Tout est accessible, et je sais qu’en cherchant quelques minutes j’obtiendrais mes réponses. 

Ca c’est au début … Une fois que la culture du digital a bien infusé, que l’on utilise plusieurs type d’applications dans l’entreprise, que l’on a un réseau social interne, un intranet, des documents et agendas partagés … Une fois qu’il n’est pas mal vu par la direction de surfer sur le web, alors les belles idées d’innovation peuvent apparaître.

  • La résolution de problèmes. Accès à l’information « hors sujet » : c’est là que naissent les innovations, quand on connecte deux sujets qui n’ont visiblement par de point commun et que l’on crée un pont. Et pour cela, il faut que l’accès à cette information hors-métier soit accessible dans l’entreprise. Il faut que les salariés aient le temps et les moyens d’obtenir cette information là. Et qu’ils aient l’autorisation d’en parler dans l’entreprise. 
  • Expérimentation du télétravail : Les bureaux perdent petit à petit de leur importance car ils ne jouent plus le rôle de stockage d’information. Le bureau devient simplement un lieux de rencontre, de réunion et potentiellement de distraction. Le digital ouvre la porte vers le télétravail, on commence par travailler depuis la cafétéria où l’on sera moins interromput pendant la préparation d’un dossier. Puis on travaille dans un café, à la maison. On se trouve plus efficace sans les distractions du boulot et avec la nouvelle organisation interne. 
  • Et finalement pourquoi ne pas partir travailler depuis une autre ville ? Partir explorer de nouveaux horizons ? Cela enrichiera comme dit précédemment les nouvelles idées de l’entreprise. Plus on expose les salariés à de nouvelles idées et plus ils sont succeptibles de trouver des solutions aux problèmes qu’ils rencontrent dans leur quotidien.

 

Je penses que par la tranformation digitale des entreprises, tout une série de grands changement s’enchaînent dans le domaine du management. On parle d’entreprise libérée, de bonheur au travail, la pyramide de la hiérarchie s’aplanie. On donne de plus en plus d’importance à l’être humain, au travailleur, au salarié qu’on appelle maintenant collaborateur. La voie du peuple peut maintenant s’exprimer. Le comportement des entreprises, de leurs salariés et de leurs clients évoluent.

En conclusion

Je ne penses pas que la transformation digital fasse vraiment évoluer l’entreprise en tant que telle. Elle aide plutôt les individus à s’émanciper de l’entreprise et prendre les rènes de leur propre vie. Et c’est pour cette raison que j’encourage encore aujourd’hui la transformation digitale des entreprises. Car je suis pour le bien-être des êtres humains.

8 signes de l’éveil spirituel

Source de la video : http://www.conscience-et-eveil-spirituel.com/indices-plein-eveil-spirituel.html

Qui suis-je ?

Pas facile de traverser toutes les étapes de l’éveil spirituel. En général il arrive après une prise de conscience suite à l’étude de l’économie, de l’alimentation ou du système politique. Cela génère des émotions en nous pas faciles à gérer. Puis on se pose des questions sur notre propre identité. On se remet en question, on prend de la distance avec certains éléments de notre culture (familiale, éducation, religion, nation, éthnie). On comprend que l’on est pas limité à un corps physique, qu’il existe une vie après la mort. Et même que l’on est un corps spirituel réalisant une expérience physique.

Quel est le sens de ma vie ?

Quand on commence à comprendre qui on est, on tente de se rapprocher de groupes de personnes qui nous ressemblent. Des personnes qui sont passés aussi par ce type de prise de conscience. On sent au fond de nous qu’il y a quelquechose d’important à faire ici. Il y a forcément une raison. On comprend qu’on a une mission de vie, une mission d’incarnation. On comprend que notre bonheur va dépendre de la réalisation de cette mission pour laquelle on est venu ici. Au début trouver sa mission de vie semble une chose compliquée et inateignable. Il existe des outils simples, comme mon programme de 21 jours pour comprendre comment chaque élément de notre vie nous a exactement préparé à faire ce que nous sommes venu réaliser.

De gros changements

Nos vies sont chamboulées. Suite à notre prise de conscience, on fait des choix inhabituels qui portent des résultats inhabituels. C’est normal. On commence à sortir petit à petit du système dans lequel on a grandit. On prend de la distance avec certains mécanismes de contrôle. On commence à voir les signes et à se connecter à notre ressentit. On a besoin que nos choix soient en accords avec nous même. On ressent la nécessité de constater que notre vie matérielle soit alignée avec nos valeurs.

Il se peut que tu te sentes seul. C’est normal, c’est une étape nécessaire à ce changement.

Les synchronicités apparaissent

A ce stade, on comprend que le hasard n’existe pas. On reçoit une série de signe trop bizares pour être du hasard. C’est un signe fort de l’éveil spirituel de quelqu’un, ce moment où il commence à percevoir les synchronicités. Tu sais, ces moments où deux choses apparemment décorellées entrent en jeux avec un timing parfait pour livrer un message. C’est là qu’on va voir des titres de livres parlant, une phrase que l’on entend, des séries de chiffres à répétition 11h11, 1234, 777, 22h22, 33€33. Les rêves se font plus percutants, on a des sensations de déjà-vu. On commence à comprendre qu’on a le choix de suivre ces signes ou non. Que notre attention a un impact sur notre réalité.

 

Nouvelles relations

Au fur et à mesure de l’éveil, on change d’énergie. Nos centres d’intérêts changent, la musique que l’on écoute évolue. On commence à ne plus supporter certaines fréquences vibratoire comme un type de musique, un type de blagues qui avant nous fesait rire, certaines activités ou fréquentations. On fait du ménage dans nos relations. On n’est plus sur la même longueur d’onde. On se rapproche de personnes qui sont plus proches de nous et ont les mêmes sencibilités. Il se peut que l’on change de travail, de pays (les deux dans mon cas !), que l’on rencontre l’âme soeur. Les relations se font moins nombreuses mais de meilleure qualité.

On fait le vide

C’est la grande vague du minimalisme. On fait le ménage dans sa vie, dans son passé, dans ses relations et dans son armoire aussi. On vide les objets inutiles, on donne, on jette. On se libère de mémoires lourdes et encombrantes. On travaille à l’harmonie du lieux, à bien faire circuler l’énergie. On se sens plus léger et plus libre sans les contraintes matérielles.

 

L’amour soigne tout

On comprend que tout est énergie. Et que l’énergie la plus forte, celle qui prends le dessus sur toutes les autres : c’est l’amour. La fréquence de l’amour a un impact sur nos pensées, sur notre bonheur, sur la croisance des plantes, sur la conservation du riz, sur la cristalisation de l’eau. L’amour est à l’origine de tout ce qui existe. On réalise que donner de l’amour aura un impact positif sur mon voisin qui a son tour difusera de l’amour autour de lui.

La sortie du brouillard

Quand on dépasse ses peurs de la vie, de la mort, de s’aimer soi même, d’être dominé, contrôlé … on sent l’espace se créer en nous. Une fois que l’on sort de cette tempête d’émotions, on commence à y voir plus clair et à être capable d’aimer, de partager, d’enseigner, de soigner. On veut aider les autres à prendre conscience eux aussi. On commence à obtenir des réponses à nos questions. Le monde changera quand chacun se sera éveillé et aura pris sa responsabilité. On commence à travailler sur nous même avant de travailler sur les autres.

 

Aller courage ! L’éveil spirituel peut être un processus long. Le bonheur que l’on obtient en vaut la peine. Et ce qui est le plus merveilleux, c’est que de plus en plus d’âmes s’éveillent par vagues. Nous sommes en train d’atteindre une masse critique qui va pouvoir tout faire basculer. Alors continue à avancer. Ton rayonnement fait avancer les autres autour de toi.
Je t’embrasse.

 

La recette de la soupe au saumon, à la finlandaise

Cet été nous sommes partit en Finlande, rendre visite à un couple d’amis installés à Helsinki. J’ai adoré ce voyage. La finlande est vraiment un pays inconnu par chez nous, mais tellement beau. Tout est calme et simple. C’est le pays du père Noël et du sauna. C’est aussi la culture du saumon. Beaucoup de plats sont à base de poisson comme cette délicieuse soupe au saumon !

Pour prépaer cette soupe pour 4 personnes il te faut :

  • Un bon morceaux de saumon frai
  • 8 petites pommes de terre
  • 2 carottes
  • 1 oignon
  • 1 poireau
  • Une feuille de laurier
  • Poivre de la Jamaïque (piment-giroflée)
  • Un cube de bouillon végétal
  • Un cube de bouillon de poisson
  • 1 litre d’eau
  • 200 mL de crème fraîche
  • Une cuillère à soupe d’huile d’olive

Commence par faire revenir l’oignon et le poireau dans le fond de la casserole avec l’huile d’olive. Quand les oignons sont translucides, ajoute un litre d’eau chaude puis les deux cubes de bouillon. Attends que les bouillons soient bien dilués, tu peux remuer régulièrement. Ajoute ensuite le poivre giroflé et une feuille de laurier pour aromatiser le bouillon.

Ensuite ajoute les carrottes, et pommes de terre. Ajuste le sel.
Quand les pommes pommes de terre sont cuites, on peut ajouter le saumon. Il cuit en trois minutes. On ne le laisse pas se décomposer trop longtemps sur le feu.

Sur la vidéo mon amie enlève les parties les plus grasse du saumon pour éviter que cela ne trouble le bouillon, elle préfère quand le bouillon reste bien clair. Je trouve sa technique de découpe du saumon tout simplement géniale. Il faut dire qu’elle travaille dans une poissonnerie. C’est une pro ! Elle me conseille de toujours découper le saumon cru sur la feuille de papier du poissonier car les saumons peuvent contenir des petits vers. Découper sur du papier jettable est une précausion hygiénique. Quand le saumon est surgelé ou cuit, le poisson est sans danger pour la consommation.

Finalement on ajoute la crème fraîche, on peut décorer les assiettes avec de la ciboulette ciselée et à table !

Quand j’ai ignoré ma mission de vie

 

Il y a un an c’était pas la grande forme.
Prise de poids, perte de joie de vivre, pleurs, agacement, iritabilité, impacience, apathie. Ma vie n’avait plus de sens. Je ne prenais plus plaisir dans les actions de mon quotidien. Je me refermais petit à petit sur moi même, triste, affaiblie. J’avais peur de tout, de marcher dans la rue, de parler à des inconnus, de prends le métro toute seule, d’aller faire mes courses à pied, de me rendre à mon espace de coworking, de sortir le samedi soir avec des amis sur la plage. Je m’étais éloignée petit à petit de mes amis, de mes contacts, des personnes qui me demandaient trop de mes nouvelles. J’avais juste envie de me faire toute petite, transparente, assise en boule au fond d’une chambre noir sans fenêtre. Et qu’on m’oublie.

Le tableau n’est pas très glorieux, et je remercie ceux qui ont eu la patience de me supporter et le courage de me bousculer. J’arrivais à faire bonne figure en public, tan bien que mal. Mais le soir je m’effondrais lamentablement. Certains appellent cela une dépression, d’autre un épuissement ou burn out. Les plus spirituels parleront de la nuit noire de l’âme ou l’éveil.

Moi j’aime bien appeller cette période de 12 à 15 mois sombres : une transition nécessaire pour ma renaissance. C’est la période de liquéfaction de la chenille avant de devenir papillon. C’est le cri de l’accouchement. Une période de crise qui nous oblige à constater que l’on ne peut plus continuer ainsi, qu’il faut changer nos habitudes pour diriger le bâteau vers un autre cap, sinon on allait droit dans le mur.

Après la sombre période moyennageuse, arrivent la renaissance puis le siècle des lumières.

J’ai dû vivre ces expériences épouvantables (à mon échelle) pour accepter certaines choses. Des choses qui étaient inacceptable pour moi avant, mais qui mises en perspective avec une période dépourvue de joie et d’espoir, finalement …
J’ai fait des concessions sur mes valeurs, mes habitudes, mes principes. Ah ces satanés principes qui ne nous servent à rien à part créer des blocages. L’énergie est là pour circuler, par pour la bloquer en vertue de « nos principes » !
Nous disions … Ce gros chaos a eu pour bénéfice de me faire accepter de faire des choses que je n’aurai jamais accepté à moi d’être complètement désespérée. La bonne nouvelle c’est que j’étais complètement désespérée. J’ai donc accepté de prier. J’ai accepté de partir vivre dans le même pays que mon amoureux (chose qui ne m’étais jamais arrivé). J’ai accepté de faire passer ma vie personnelle avant ma vie professionnelle. J’ai même accepté de faire 3500 km en voiture alors qu’on aurai pu économiser 400 euros et 5 jours de voyage si on avait pris un avion. Et je ne regrette aucun de ces choix. Je suis vraiment heureuse d’avoir était à ce point désespérée et d’avoir cédé. Mon égo à laissé la place à des personnes externes pour réaliser ces choix. L’expérience qui en a émergé m’a enrichit, et si je devais refaire ces choix, je les referai.

 

Je m’étais coupée de ma mission d’âme

C’est dans ce contexte qu’est arrivé la rupture. Mon patron et moi décidons de nous séparer après 3 ans d’intense collaboration. C’est le vide. Plus de notifications, plus de mails, plus de réunions du jour au lendemain. Je décide de faire le grand saut : « A partir de maintenant je suivrai mes intuitions », chose que je n’ai pas osé faire trois ans plus tôt. Je sais au fond de moi que je dois prendre des risques et que je ne peux plus me permettre de ne pas prendre de risques.

Je sais depuis toujours que je suis une entrepreneuse. Je suis née pour créer et diriger des entreprises. Alors pourquoi ai-je accepté de me faire embaucher en CDI il y a trois ans ? Tout simplement parce que j’avais peur. Je me sentais inexpérimentée et je n’ai pas réussit à tenir tête à mes parents qui voulaient que je travaille dans une entreprise normale, une grande entreprise, un truc important qui rentabilise mes coûteuses études en école de commerce.

Travailler dans une mini startup du digital depuis un espace de coworking était comme être entrepreneur par procuration. Je me suis débarassé des questions gênantes de la famille en faisant des compromis. Grosse erreur. Les compromis ce n’est pas aller dans le sens de notre intégrité. Quand il s’agit de décision importante concernant l’expression de ma personnalité, l’expression de mon essence par ma créativité, il ne faut pas faire de compromis pour faire plaisir aux autres. C’est là ma première erreur, c’est là que tout a démarré.

Je savais que je devais créer ma société, j’ai mis 4 ans pour réunir mon courage à deux mains et le faire. J’ai fait un détour qui m’a enseigné d’importantes leçons de vie. Maintenant j’ai compris, et je me mets au travail.

Merci la vie.

Oser vivre sans frigo

Déjà six mois que j’ai débranché mon frigo. J’ai rigolé ce matin en observant ma mère s’efforcer de vider son frigo avant de partir trois jours en vacances. « Moi je n’ai pas besoin de vider mon frigo, ni de le dégivrer. » Ai-je pensé en souriant.

Enfin, je rigole, car moi aussi, à chaque fois que je pars en voyage tous les mois, je dois bien vider ma cuisine de tout produit frai qui risquerai de prendre mal.

Au début je n’osais pas dire à mes amis que je voulais vivre sans frigo. Mais j’ai pris mon courage à deux mains pour oser être moi même et incarner mes valeurs. Qui plus est, chez moi ! dans mon appartement à moi seule.
Mais comme mon beau père avait passé une soirée à changer le sens d’ouverture de la porte du frigo, je n’osais pas dire que c’était du travail inutile. Alors j’ai toléré quelques semaines le bruit infernal du frigo dans le silence de mon appartement, j’ai jeté quelques oeufs et salades surgelées.

Puis un jour, il y a huit mois, j’ai débranché mon frigo.

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Vivre sans frigo, c’est facile

J’ai déjà partagé plein d’astuces pour vivre sans frigo, pour conserver les légumes par fermentation dans des bocaux, faire pousser des graines germées, acheter des boites de conserves …

Mais finalement le plus important c’est la simplicité d’acheter du frai. Je sors faire un tour en ville, j’achète des produits frais au petit paysan et au poissonnier, puis je cuisine directement, sans stocker, sans attendre. Je ne garde pas de restes. Je cuisine à ma faim.

Et les jours où je reçois du monde, je rallume mon frigo pour raffraichir une bière, un coca et garder un dessert en surprise. Franchement il n’y a rien de bien compliqué à connaître pour vivre sans frigo. Aujourd’hui, je suis prête à rebrancher mon frigo si c’était nécessaire, par exemple en cas de colocation ou de concubinage. J’ai déjà tiré les bénéfices de cette expérience et j’en suis reconnaissante.

Les enseignements

Pour moi, la chose la plus importante dans cette expérience a été d’oser faire ce que je ressens être juste pour moi. Et c’est un excercice pas très facile au début. Mais c’est tellement essentiel d’oser dire au monde « voilà, moi je suis comme ça, j’aime les hommes, je vis sans frigo, je mange du surimi et je ne me sèche pas les cheveux après le shampoing »

Cette petite étape simple a été bien plus qu’un simple geste rebèle contre la société de consommation, les énergies fossiles, le gaspillage alimentaire et le zéro déchet. Ce geste a été un petit pas vers moi même. Un petit pas timide vers l’incarnation de mes valeurs et la christalisation de mes idées. Enfin j’ai osé concrétiser ce en quoi je crois.

Qu’est-ce que ça fait du bien, je me sens mieux. Depuis je me sens droite dans mes bottes, je me sens à ma place. Cette petite expérience m’a encouragé à recommencer, à faire d’autres petits pas pour me retrouver moi même. La vie peut naître à nouveau. La vie ne germe pas dans les frigos, mais à la lumière.