C’était il y a deux ans déjà, quand j’ai contacté Jenna pour l’interviewer. La première interview de mon projet inspiré de 50 femmes inspirantes. Et à ma grande surprise, Jenna a décidé de m’interviewer également. Depuis une belle amitié s’est tissée entre nous. On a eu l’opportunité de se croiser déjà plusieurs fois en vrai à Naples, à Paris à Séville. Et très souvent en visioconférence 🙂
Dolores Canon est une hypnotérapeute qui a écrit 19 livres inspiré du contenus exprimé par ses patients. Lors des séances d’hypnose régressive, le patient parle comme s’il était une autre personne. Il verbalise des informations dont il n’avait pas conscience.
Ces informations contenues dans ces livres parlent de la création de l’Univers, de l’origine de nos âmes, des extraterrestres et des starseed, que l’on appelle parfois aussi enfants indigos.
Si ces trois vagues de volontaires pour venir aider la planète existent, Dolores les décris ainsi :
La première vague est celle des babyboomers, ces bébés qui sont arrivés en masse après la seconde guerre mondiale. Leur mission est d’incarner un changement de l’intérieur. On ne peut pas aider les humains à changer s’ils n’en ont pas envie eux même. Alors ces âmes se sont portées volontaires pour s’intégrer. Ils ont maintenant entre 40 et 60 ans. Ils ont eu la part la plus difficile, c’est eux qui ont ouvert la voie pour les autres. Ils ont commencé à déconstruire certains modèles.
La seconde vague de volontaires est celle qui a l’âge de faire des enfants maintenant. Ce sont des observateurs, ils écrivent pour la presse, travaille dans le cinema, ils documentent l’évolution des humains. Ce sont des personnes qui préfèrent travailler de chez eux pour éviter de ce mélanger avec une civilisation qu’ils ne comprennent pas. Ils ont vraiment du mal à supporter la violence et la densité de cette planète. Leur principale mission est de diffuser de l’énergie et de collecter des informations. Ils doivent faire attention à ne pas se faire absorber leur énergie par les autres.
La troisième vague, c’est celle que l’on appelle parfois les enfants indigos. Ce sont des enfants très doués, talentueux. Ils savent que leur mission est d’aider les autres enfants. Ils sont souvent diagnostiqués comme hyperactif mais ils sont en fait surdoués. Ils ne comprennent pas pourquoi les professeurs répètent sans cesse la même chose, ils avait compris dès la première fois. Ils sont doués en peinture, en inventions technologiques.
Quels sont leurs points communs ?
Ils ont du mal à gérer leur corps humain, car ils ne sont pas habitués
Ils veulent rentrer à la maison, et ne se sentent pas chez eux sur Terre
Ils se sentent mieux quand ils apprennent qu’ils ne sont pas les seuls
Quels sont les conseils de Dolores Canon ?
Apprendre à se libérer de la peur, car la peur n’existe pas sauf si on la crée dans notre tête. Seul l’amour existe.
Tirer des enseignements de cette vie, sinon, on va devoir tout recommencer.
Nous grandissons sur la Terre. Elle nous nourris et nous portes à chaque pas. Quelle relations as-tu avec notre planète ?
L’ancrage est un autre mot pour parler d’enracinement quand on parle de développement personnel. C’est un peu le point de départ de tout chemin.
L’arbre a besoin d’avoir de bonnes racines pour pouvoir fleurir.
L’homme a des racines, il les associe souvent à ses origines. Son ancrage à la Terre est nécessaire pour maintenir son équilibre. Il repose sur ces deux pieds et la tête pointe vers le ciel. Le corps humain est un tuyaux, un canal entre le ciel et la terre. L’importance de la verticalité est connue par tous les pratiquants de la méditation et de la prière. Il est fortement recommandé d’avoir bien les pieds sur terre avant d’initier une méditation ou un voyage astral car c’est ce qui va nous éviter de nous perdre. La Terre est une énorme source d’énergie.
Être enraciné c’est avoir les pieds sur terre.
Le chakra racine
On l’appelle aussi Muladhara. C’est le premier Chakra, celui qui est représenté par la couleur rouge. Il est associé à tous les membres inférieurs : les jambes, les pieds et les organes reproducteurs.
Ce chakra est associé à la réalité, la matérialisation, l’incarnation. C’est la manifestation du concret, du palpable. Certaines personnes sont plus ancrées que d’autres. On les reconnait par leur discours concret et précis.
Quelques pratiques pour bien s’ancrer
Imaginer des racines qui poussent des pieds vers le centre de la Terre. C’est un excellent excercice matinal pour un bon réveil énergétique.
Marcher pieds nus dans l’herbe.
Dormir, s’allonger ou s’assoir par terre.
Jardiner, faire pousser les racines des plantes, remporter des orchidées.
Faire pousser des graines germées dans sa cuisine.
Faire des travaux manuels : poterie, scupture, menuiserie.
Danser ou faire du sport, cela aide à être présent dans son corps.
Etudier son arbre généalogique.
Retourner sur la terre de ces ancêtres.
S’investir matériellement dans son lieu de vie, construire sa maison, s’installer confortablement dans son habitat.
Pour qui ces pratiques sont-elles importantes ?
Pour les personnes qui ont tendance à papillonner, à être dans la lune, dans leur tête. Pour les personnes qui voyagent en avion et on tendance à perdre le lien avec la terre. Pour ceux qui vivent en ville et on peut de relation avec la nature.
Nous avons tous des blessures d’enfance. Nos blessures conditionne notre comportement. Nous agissons chaque jour en fonction de nos peurs et des compétences que nous développons pour éviter de revivre ces blessures.
Il y a deux écoles dans l’étude des blessures d’enfance. Toutes les deux sont d’accord sur le fait que les blessures apparaîssent dans notre vie afin de nous aider à grandir et apprendre. Lise Bourbeau base sa théorie sur le fait que l’âme choisit avant de s’incarner la blessure qu’elle souhaite vivre pour la dépasser. Alors que l’ennéagramme part du principe que l’âme s’incarne dans la perfection et que ce sont les épreuves de la vie qui vont façonner la personnalité de chacun. Mais cet élément de discordance n’est pas très important pour tirer les enseignements de l’étude des blessures. L’objectif est de se comprendre, de prendre conscience de l’origine de nos peurs pour atteindre la guérison.
Lise Bourbeau est pionnière dans les questions des blessures d’enfance. Elle associe chaque blessure à un type de personnalité et une morphologie bien précise. Pour Lise nous avons chacune des 5 blessures en nous. Simplement une ou deux des blessures sont plus actives que les autres. Chaque blessure active ce que Lise Bourbeau appelle un masque. L’individu choisit ou non d’activer son masque, c’est à dire d’agir en fonction de sa blessure.
Pour résumer la vidéo ci-dessus, voici en bref les cinq blessures :
Rejet : La personne cherche à se faire toute petite, discrète, invisible afin de ne pas prendre trop de place. C’est le masque du fuyant.
Abandon : C’est le masque du dépendant, qui manque de soutient, cherche à attirer l’attention pour obtenir un peu d’amour. Il a tendance à se comporter en victime.
Humiliation : Ce masque est actif chez les personnes à morphologie ronde. Elles apprécient les petites choses. Le masochiste a honte de se faire plaisir que ce soir par l’alimentation ou au niveau sexuel.
Trahison : Cette blessure active le masque du contrôlant. Une morphologie qui s’impose et cherche à contrôler son environnement pour éviter de ne revivre sa blessure.
Injustice : Finalement cette dernière blessure est vécue par le masque du rigide, qui a tendance à se couper de ses émotions afin de prendre les décisions les plus justes possibles.
Pour aller plus loin on peut aussi associer une des blessures avec chaque profil de l’ennéagramme. Comme beaucoup d’autres test psychologiques, l’ennéagramme nous aide à nous comprendre nous même et à comprendre les réactions étranges des personnes de notre entourage. Chaque profil de l’ennéagramme est associé à un chiffre (cf l’illustration ci-dessous)
Humiliation : Réprimande d’un plaisir innocent
Solitude : Manque d’affection et de soutient
Manque d’estime de soi
Abandon : perte d’un lien
Insécurité : Intrusion dans la bulle, l’intimité
Trahison par l’autorité
Contrainte : Privation de liberté
Impuissance à agir
Manque d’amour
Il ne sert à rien de chercher à éviter de vivre ses blessures ou de les faire vivres à nos enfants. Quelque soit le comportement des parents, les enfants vivrons une des blessures en fonction de leur point de vue. Nos blessures nous aident à nous construire et à développer des qualités bien précises. Le travail sur soi nous permet de comprendre le message de nos blessures. Cette prise de conscience est une étape fondamentale dans la guérison.
Notre guérison nous aide à devenir une personne un peu plus complète et disponible pour réaliser ce qu’elle doit réaliser : Vivre dans l’amour, apporter de l’aide aux autres, apporter une contribution au monde, contribuer à l’harmonie …
J’ai eu la change le mois dernier d’assister à un énorme week-end de conférences à Pau. C’est la sixième édition du Symposium International. Et lors de ce week-end Baptist De Pape donnais une conférence sur son livre et film « L’infinie puissance du coeur » . Le hasard a voulu que j’ai acheté ce film quelques semaines plus tôt, j’ai donc été écouter cet auteur que je ne connaissais que de nom.
J’ai été touchée par la façon posée et ouverte dont il parle. J’aime bien Baptist De Pape, il m’inspire confiance, il parle avec le coeur. J’ai eu l’occasion d’écouter lors de ce même weekend des personnes qui parlaient avec la tête ou avec les tripes. La sensation est très différente. Baptist m’apaise avec ces mots et son message raisonne en moi comme une vérité. Tout raisonne avec mon expérience personnelle. Alors, qu’ai-je retenu de son exposé ?
Toute sa démonstration a pour but de nous aider à écouter et faire confiance à l’intelligence du coeur. Celle que nous n’écoutons pas quand nous faisons des choix dans la peur, ou pour faire plaisir à la société.
Pour accéder au but de notre vie, il faut suivre son coeur. Le mental ne sait pas nous indiquer le chemin. Le mental base son analyse sur son expérience passée alors que le coeur, comme le précise Baptist, peut voir les évènements avant qu’ils n’arrivent.
Crise existentielle
Je penses que l’on peut dire que Baptist De Pape a vécu une crise existentielle quand il a commencé à chercher le sens de sa vie. Il a quitté sa vie d’avocat reconnu pour harpenter la vie à la recherche d’un but. Il mentionne d’autres personnes dont c’est le cas, comme J.K. Rowling qui n’a pas écrit Harry Potter avant de ne se trouver dans une situation dans laquelle elle n’avait plus rien à perdre. Souvent nous avons besoin de tout perdre pour oser prendre le risque de créer ce pour quoi nous sommes venus ici. Pour oser devenir nous même.
Courage d’être soi
Notre réalité extérieure est le reflet de ce qui se passe à l’intérieur. Si tout s’écroule ou si les choses ont de la difficulté à se mettre en place, c’est que nous ne sommes pas encore alignés. Une fois que l’on a tout perdu nous sommes prêts à prendre des risques. Nous n’avons plus rien à perdre. C’est en prenant le risque de faire ce que l’on aime que la magie apparaît. Cela demande du courage que de changer d’identité pour incarner sa mission de vie.
Le courage (coeur-age) c’est de sauter à pieds joints dans la vie alignée à l’âme.
Manifester son âme en 5 étapes :
Reconnaître que l’on est une âme qui vit en dehors de ce corps. L’âme vit avant et après notre corps humain, incarné. Voir la vidéo ci-dessus sur l’expérience d’Anita Moorjani.
Réaliser que l’on a une personalité temporelle. Cette personnalité est séparée de notre âme. Nous pouvons donc nous désidentifier de cette personnalité terrestre. Ou encore mieux, changer de personnalité, la faire évoluer.
Créer un alignement Personnalité / Âme. En général c’est la phase de crise existentielle, la nuit noire de l’âme qui provoque ce changement. Mais les personnes ayant développé un certain courage d’être soi même peuvent également s’aligner sans avoir à vivre de trop grande crise. Nous espérons que de plus en plus il sera possible de s’aligner dans passer par cette phase douloureuse.
Identifier l’intention de l’âme. Demander à la vie ou à Dieu « Qu’attends-tu de moi? » « Qu’est-ce que la vie veut de moi ? » Plus on pose cette question dans nos prières, dans nos intentions, dans nos méditations et plus nous obtiendrons des signes pour nous guider. Les fameuses synchronicités.
Poser des intentions qui vont dans le sens de notre mission de vie. Si nous sommes alignés, tout se met en place avec facilité. La manifestation sur le plan physique est une conséquence d’une manifestation du plan mental. Si cela bloque sur le plan physique, c’est que nous manquons d’alignement. Ici Baptist suggère de challenger l’Univers en lui demandant « Si tu es vraiment cette intelligence, alors aide-moi ! »
Nous avons tous plus ou moins rencontré ce type de relation. Une relation qui nous prend, qui nous hypnotise. Une relation qui ne nous fait pas de bien, voir qui nous détruit d’une certaine façon. Mais on ne sait pas pourquoi, on a du mal à couper les liens avec cette personne. Cette relation devient notre raison de vivre. Nous ne nous voyons plus capable de vivre sans faire partie de cette personne.
On peut se poser la question « Est-ce nouveau dans notre société ? Nos ancêtres vivaient-ils des relations aussi toxiques que celles que nous vivons actuellement ? » Je n’ai pas de réponse à cette question, même si mon intuition me dit que cela semble assez nouveau dans notre société de créer autant de relations aussi toxiques. Nous n’avons jamais entendu autant parler de pervers narcissiques que dernièrement.
5 signes qui indiquent que je suis dans une relation toxique
Comment savoir si je suis dans une relation avec une personne qui ne me veut pas du bien ? Voici quelques signes pour nous aider à identifier de telles relations.
Je m’interdis d’évoluer. Je me limite dans mes projets.
J’ai le sentiment de ne jamais être assez bien.
Je ne suis pas aussi importante que l’autre. Je n’existe pas. Mes opinions ne sont pas entendues.
Je ne suis pas à l’aise en présence de cette personne. J’ai du mal à être moi même avec elle. Je ne me reconnaît pas.
Ma joie de vivre disparaît. Je suis asséché, fatigué, épuisé. Mon étincelle de vie s’amoindrie.
Les conséquences d’une relation toxique
Lorsque nous sommes engagé dans une relation toxique, nous lui donnons une importance disproporsionnée. Cette relation prend beaucoup de place dans notre vie. Nous nous rangeons à un second plan au profit de la relation, et ça, ce n’est pas bon pour notre propre survie.
La relation devient une troisième entitée. Pour créer une relation, nous avons besoin de deux personnes, par exemple un homme et une femme. Une fois ensemble ils créent la relation, dans ce cas le couple. Cela peut-être un binôme, un partenariat, une amitié, … Une relation n’est pas forcément toxique ou néfaste. Elle le devient si une ou deux personnes de la relation lui donne plus d’importance qu’à elle même. Si l’aura de la relation est plus nourrie que celle des deux personnes individuelles, alors là cela devient dangereux. Il se peut aussi qu’à travers la relation toxique, l’une des deux personnes en ressorte fortifié. On peut alors parler de personne toxique, de pervers, de manipulation, de narcissique ou sociopathe. Un éventail de variantes à disposition.
Lorsque l’on est enroulé dans une telle relation, notre énergie va diminuer. On perd confiance en soi et on peut aller jusqu’à la dépression. La vie devient triste et perd de son sens. Les projets n’avancent plus, la motivation disparaît. Une telle relation empêche ses victimes d’exprimer leur plein potentiel et d’incarner leur mission de vie.
Les personnes prédisposées
Existe-t-il des personnes plus susceptibles de tomber dans le piège des relations toxiques ? A priori tout le monde en est capable. Mais il est vrai qu’en fonction des grilles de lectures il existe certains profils plus succeptibles. On parle souvent des empathes qui se retrouvent emmélés dans des relations fusionnelles avec les narcissiques.
Dans l’étude du MBTI les personnes disposant des lettres E et F pourraient également être disposées à faire passer les besoins des autres avant leur propre besoins. L’extravertit puise son énergie au contact des autres et peut avoir tendance à s’intéresser plus aux nécessités de son partenaires qu’aux siennes. Alors que la personne Feeling cherche l’harmonie dans les relations. Celle ci a tendance à faire ses choix en fonction de l’impact qu’il a sur les autres.
Une personne souffrant de la blessure d’Abandon active la peur de la solitude. Le dépendant cherchera donc à tout pris à nourrir la relation au dépend de sa propre santé. Pour le dépendant il semble qu’il serait trop douloureux de se sentir abandonné et donc seul. Il préfère rester dans une relation aussi destructrice qu’elle pourrait être, afin d’éviter de vivre l’abandon.
Bien entendu, ces prédispositions ne sont pas exhaustives. Elles sont simplement un exemple de lecture. De façon générale plus nous avons des blessures non guérries, et lus nous nous exposons à des relations toxiques. Ces relations auront l’avantage de mettre en lumière les blessures sur lesquelles nous pouvons travailler.
Le mécanisme des relations destructrices
Jean-Jacques Crèvecoeur a identifié dix habitudes relationnelles qui nous empoisonnent la vie. Voici donc le mode d’emploi pour créer des relations toxiques autour de nous :
Attendre que l’autre me rende heureux
Interpréter ce que l’autre n’a pas dit
Se raisonner. Ne pas se fier à ses émotions et ressenties physiques, mais plutôt prendre des décisions grâce au mental calculateur.
Faire des concessions inacceptables
Prendre en charge le besoin de l’autre, sans qu’il n’en fasse la demande
Eviter la confrontation
Finir par exploser et accuser l’autre de me faire faire des choses innacceptables sans qu’il ne me l’ai demandé
Rêver de recommencer à zéro, de reprendre au début
Patienter et espérer qu’un jour les choses changeront
Répéter les mêmes erreurs, encore et encore
Nous avons tendance à croire que lorsque l’on connait bien une personne nous somme sensé anticiper ses besoins. Petit à petit nous oublions de lui demander « Qu’est-ce qui te ferai plaisir ? » Nous prennons pour acquis que ce que je pensais qui lui plaisait l’an dernier lui plaira également aujourd’hui. Nous oublions tout simplement de poser les questions directes et sincères. Ainsi nous nous lançons dans des projets pour faire plaisir à l’autre sans avoir vérifié que c’est bien le cas. Afin de rendre l’autre heureux, et de renforcer la relation, nous mettons nos propres besoins de côté. Ainsi on se concentre à donner et on coupe l’arrivée d’énergie qui nous nourris. Au bout d’un moment nous nous détruisons car nous ne nous nourrissons plus. Et quand nous sommes à bout nous accusons l’autre de ne pas avoir pris en charges nos besoins.
Comment s’en sortir ?
Commençons par comprendre notre part de responsabilité dans cette relation. Une relation se crée à deux, donc 50% de la responsabilité me revient. Je suis donc capable de reprendre les rènes de ma vie.
Comprendre que le bonheur ne vient pas de l’autre. Je suis la seule personne capable de me rendre heureux.
Avant de me demander ce qui ferait plaisir à l’autre, suis-je capable de savoir ce qui me ferais plaisir à moi même ?
Avant d’accuser qui que ce soit de ne pas avoir répondu à mes besoins, je me pose les questions : Suis-je capable d’y répondre moi même ? Ai-je formulé clairement à mon partenaire mon besoin ? Est-il capable de répondre à mon besoin si moi même je ne suis pas capable ? Si je ne prends pas soin de moi, qui le fera ?
Je me valorise. Je prends soin de moi avant de ne donner trop d’importance à cette personne et ma relation avec elle.
La peur nous fait croire que nous n’avons pas le choix. Mais nous avons toujours le choix. Je peux faire le choix de mettre fin à une relation avec quelqu’un pour me protéger.
Développer mon intuition, elle ne se trompe jamais. Faire confiance à mon ressentit physique et émotionnel plutôt qu’au mental qui renferme toutes mes peurs. Ne pas laisser trop de place à mon mental calculateur dans mes choix.
J’espère que ces éléments t’aideront à y voir plus clair et à prendre le courage de t’aimer toi même avant tout. Si tu as besoin d’en parler, je propose des séances de coaching. Il existe aussi des groupes de discussion sur internet et Facebook pour échanger avec des personnes qui ont les mêmes problématiques.
La gratitude est cette émotion qui nous remplie de joie, de satisfaction et nous fait sourire. Que l’on se sent bien quand on ressent de la gratitude. Il est jouissif d’être reconnaissant. Mais peut-on provoquer cet état d’être ? Mes ( exercices de gratitude pour une vie épanouie.
La gratitude est d’une des émotions dont la fréquence vibratoire est la plus élevée. On le voit bien sur l’échelle des émotions ci-dessous.
Nos pensées provoquent des émotions en nous. Nos émotions ont une influence sur nos ressentit physique et sur la santé de notre corps. Nous sommes capable de choisir les pensées qui nous traversent. Nous sommes donc capable de choisir les émotions que nous souhaitons ressentir pour nous sentir bien et avoir une santé du tonnerre.
Comment ressentir de la gratitude ?
S’il est possible de ressentir de la gratitude quand tout va bien, ce n’est pas toujours aussi simple quand rien ne va plus. Il existe des techniques pour cultiver la gratitude chaque jours. Les émotions et les pensées sont des petites graines que nous semons dans notre jardin intérieur. Les plantes que nous récoltons aujourd’hui sont le résultat de ce que nous avons semé hier.
Alors décidons dès aujourd’hui de semer régulièrement de belles plantes de gratitude, de joie et de bonheur dans notre jardin d’émotions. Pour cela, je mets en place des petites habitudes qui m’obligent à développer le sentiment gratitude.
1- Mon cahier de gratitude
Tous les soirs, j’écris sur mon cahier les cadeaux que la vie m’a offert aujourd’hui. En écrivant, je prends le temps de remercier la vie pour chaque instant, chaque surprise qu’elle m’a réservée. Dans mon bullet journal, j’ai une page dédiée aux kiffs du mois. J’essaye d’en noter un ou deux par jours. Je relie régulièrement mes kiffs des mois précédents, et ça m’aide à me rendre compte que je suis vraiment bénie.
Relire mes gratitudes m’aide à se sentir chanceuse.
2- Ma To-Do List
Dans mon Bullet Journal, je note souvent trois tâches à réaliser le lendemain. Cela m’aide à me concentrer sur l’essentiel avant de m’éparpiller dans d’autres tâches. Sur les pages quotidiennes, j’aime bien noter sur la gauche 3 à 5 tâches à faire. Sur la droite, comme il me reste un peu d’espace libre, je note le soir 3 gratitudes à la volée. Cocher mes tâches m’aide également à ressentir une bonne dose de satisfaction. Savoir que j’ai atteind mon objectif du jour m’aide à me sentir bien. Quand je me sens bien, je suis plus disposée à ressentir de la gratitude pour la vie.
3- Ma formule magique
J’utilise une phrase magique pour réactiver la gratitude dans ma journée : « How does it get any better than this ? » (Comment cela peut-être encore mieux ?). Cette phrase m’aide à me connecter aux cadeaux que la vie m’a déjà envoyé, à tout ce que j’ai déjà. Je ressens ensuite de la gratitude et j’en demande encore plus. Faire des demandes dans la joie de la gratitude donne beaucoup de puissance aux demandes.
4- Ma méditation du matin
« Méditation » c’ est un bien grand mot qui peut faire peur. En fait c’est un simple moment de calme dans lequel on concentre notre attention sur un élément. On peut méditer en observant notre respiration, en visualisant nos objectifs, en explorant une problématique, en accueillant nos ressentits physiques … Moi, le matin, je médite quelques minutes après ma séance de Yoga. Je me concentre quelques minutes sur ma respiration. Ensuite je me connecte à la nature autour de moi : l’arbre dans la cours, le vent, le soleil, la pluie, le chant des oiseaux … Finalement je me plonge dans un bain de gratitude. Je ressens cette émotion dans mon corps et j’observe (les yeux fermés) la beauté de chaque élément autour de moi. Je remercie l’oxygène de m’aider à respirer. Je remercie le soleil de faire brillet les feuilles des arbres.
Après un tel bain de gratitude, la journée commence dans la bonne humeur.
5- La magie du rangement
Tu as sûrement entendu parlé du livre de Marie Kondo « La magie du rangement ». Dans son boukin, elle donne plusieurs astuces pour s’entourer d’objets qui nous remplissent de joie. Une habitude qu’elle propose est celle de replacer chaque objet à sa place le soir en le remerciant pour son service. J’ai adopté cette habitude l’an dernier. Remercier, tous les soir, mes chaussures de m’avoir porté a changé ma vie. Quand je venais de passer une journée horrible dans laquelle il était difficile de trouver un motif pour être heureuse, je pouvais au moins remercier mes chaussures, mon lit et mon pyjama. Ils avaient le mérite d’exister et de m’aimer. Je te conseille cette pratique si tu es persuadé que tu n’as absolument aucun motif pour ressentir de la gratitude. Essaye. Vraiment.
Nous avons souvent tendance à vouloir être parfait. On se compare aux autres et on n’est jamais assez bien, pas assez comme eux. C’est normal, parce que nous sommes nés pour être nous, par pour être l’autre. Mes impecfections font ma perfection. Mes amis m’aiment parce que je ne suis pas comme les autres, parce que je suis moi même et mes défauts, mes traits de caractères imparfait font toute ma personnalité. Je suis heureuse que personne d’autre n’ait exactement les mêmes défauts que moi, et c’est ce qui fait de moi une personne parfaite, comme toi !
Souviens toi que tu es le vainqueur d’une course de quelques miliers de soldats qui se dont dirigés vers cet ovule à féconder. C’est toi qui a gagné, c’est toi le plus rapide. Bravo ! Souviens toi que tu es une personne merveilleuse qui cache une infinité de ressources et de richesses. Nous sommes très impatients et curieux de découvrir ces trésors, dès que tu te sentiras capable de nous les partager. En attendant, tu as besoin de rebooster ta confiance en toi ? Voici quelques astuces pour t’aider à la cultiver.
Jardiner
Arroser des plantes, les voir fleurir et grandir enrichit notre journée. On ressent dessuite un sentiment de gaité quand un bouquet de fleur décore notre salon. Quelle joie quand la plante grasse oubliée sur la télévision donne une fleur. Et quand l’orchidée décide de renaître après l’hivers. Rempoter, nettoyer, arroser, caresser, encourager. Les plantes ont besoin de nous et de notre attention pour pousser. La nature s’occupe du reste. Jardiner c’est une façon très simple de se sentir utile et de se rendre compte que nos actions portent des fruits, c’est le cas de le dire.
Faire germer des graines
ça rejoint un peu le point précédent. C’est encore plus facile que jardiner. Pour faire pousser des graines germées, pas besoin de se salir les mains avec de la terre. Attrape une poignée d’amandes, de graines de tournesol ou de lentilles dans ton placard. Fais les tremper une nuit, puis rince les deux ou trois fois par jours. En moins d’une semaine, de belles petites pousses sont nées car tu t’en es occupé. Bravo ! Elles décoreront ton assiette, tes salades et te remercieront en te donnant plein de vitamines et de nutriments. Tu peux aussi t’amuser à faire pousser tes noyaux d’avocat, de cerise, d’abricot. Bref la liste est longue. Tu trouveras des mélanges de graines à germer pour tes salades dans toutes les boutiques bio. Avec un paquet à 3 euros, tu devrais en avoir pour un an. C’est abordable l’estime de soi, n’est-ce pas ?
Faire une to-do liste
Je te conseille vivement de te fixer 3 objectifs par jour, les écrire sur un cahier et les cocher en fin de journée. C’est un petit exercice tout simple mais qui marche tellement bien. Dès que tu as fait tes 3 tâches, alors tu es autorisé à rêver, t’amuser ou ne rien faire. Même si tu termines tes trois tâche à 10h du matin, bravo ! Tes tâches peuvent être plus ou moins longue et plus ou moins motivantes. C’est pas grave. Ce qui importe, c’est que tu te fixes des objectifs à la hauteur de là où tu en es aujourd’hui, avec ton estime de toi aujourd’hui. Ni trop haut, ni trop bas. Ecris tes objectifs ce soir pour demain. Et demain soir coches bien tes tâches.
Ecrire les pages du matin
J’ai déjà écris plusieurs articles sur le sujet. J’en ai aussi parlé dans plusieurs de mes vidéos sur Youtube. Cette petite habitude matinale permet de vider ta tête du disque des pensées négatives qui tournent en boucle pour te lâcher les basckets le restant de ta journée. En refermant mon cahier tous les matins, je me sens tellement fière de moi. Je suis encore en pyjama, je n’ai pas encore bu mon café et mes cheveux sont en bataille. J’ai déjà fait une chose de bien, ma journée est déjà productive. Yeah !
Dessiner un mandala
Pourquoi personne ne m’avait donc dit que c’étais si facile ?! Pas besoin d’acheter un cahier de coloriage à la mode, ni de refaire ton stock de feutres. Un papier et un stylo noir seront parfait. Commence par faire un petit cercle ou un escargot au centre de ta feuille. Puis laisse toi aller, dessine des formes géométriques autours. Souviens toi, les impecfections font ta perfection. Dans quelques minutes tu obtiendras un dessin tellement beau. Tu ne savais pas toi même que tu étais capable d’un tel chef-d’oeuvre. Bravo !
Cuisiner ton plat préféré
Les anglophones appellent ça de la « confort food », ce plat qui te fait te sentir à la maison. Un peu de cocooning fait du bien. Tu rêves des crêpes de la fête foraine, du pain perdu de ta grand-mère, de la blanquette de veau de maman ? Aller, allume tes fourneaux et cajole toi avec un bon petit plat. Ou encore mieux, partage le avec un proche. L’occasion de partager cet exploit, une de tes créations.
Tricoter une écharpe
Cet exercice n’est pas réservé aux filles. Bien au contraire. Les hommes aussi tricottent et adorent porter une belle écharpe l’hivers. Tu es débutant(e) ? C’est pas grave, il existe une technique qui requiert deux bras (les tiens), deux pelotes de très grosse laine et 25 minutes de ton temps. Fastoche, non ? En plus on dit que le tricot c’est bon pour le bonheur, la relaxation du mental et plein d’autres trucs cool. (source) Laisse moi te dire qu’après avoir tricotter ta première écharpe tout seul, tu te sentiras bien fière(e) de toi en la portant. Ton estime de toi va grimper en flèche !
Se féliciter
A la fin de la journée, constate tout ce que tu as réalisé. Rapelle toi tous les coups de mains que tu as donné aux personnes que tu as croisé. Ce sourire que tu as fait à la mamie dans le bus, tu lui a égeillé la journée. Un excercice intéressant est celui de te féliciter par des phrases positives en te regardant dans le miroir. Tu te sentira peut-être ridicule les trois premiers jours, mais plus tu fais l’excercice plus tu augmentes ton amour propre. Si tu souhaites aller plus loin, je te conseille le livre de Louise Hay « Transformez votre vie » . Il a vraiment transformé la mienne quand j’étais au plus bas de mon estime de moi.
S’offrir un cadeau
Achète toi un truc qui te donne le sentiment du luxe. Offre toi un truc que tu ne t’autorises pas habituellement. Pour moi c’est un petit carnet de notes d’une marque haute couture finlandaise. Il m’a couté 3 euros, et me transporte dans la sphère du luxe à chaque fois que je le vois. Tu peux t’offrir un cinéma, un repas dans un bon restau, un café dans un hôtel 5 étoiles, une balade en taxi, une nuit dans un appartement de luxe, un porte clé ferrari. Ca peut aussi être un cahier de coloriage ou une belle plante. Laisse parler ton coeur.
J’espère que tu te donneras une chance. Que tu t’autoriseras à faire au moins 3 de ces actions cette semaine, pour commencer à te sentir mieux. Moi je crois en toi et je sais que si tu t’y autorises, tu es capable de faire de belles et grandes choses. Peut-être qu’une fois que tu as testé toutes les choses de cette liste, tu essaiera de faire quelquechose de complètement délirant. Teste un truc nouveau, une activité que tu n’as jamais faite dans ta vie. Reprends une passion que tu as laissé de côté depuis des années. Réalise ton rêve. Dans quelques semaines tu seras tellement fier de toi ! Moi aussi, je serai fière de toi.
Nous avons souvent tendance à vouloir être parfait. On se compare aux autres et on n’est jamais assez bien, pas assez comme eux. C’est normal, parce que nous sommes nés pour être nous, par pour être l’autre. Mes impecfections font ma perfection. Mes amis m’aiment parce que je ne suis pas comme les autres, parce que je suis moi même et mes défauts, mes traits de caractères imparfait font toute ma personnalité. Je suis heureuse que personne d’autre n’ait exactement les mêmes défauts que moi, et c’est ce qui fait de moi une personne parfaite, comme toi !
Souviens toi que tu es le vainqueur d’une course de quelques miliers de soldats qui se dont dirigés vers cet ovule à féconder. C’est toi qui a gagné, c’est toi le plus rapide. Bravo ! Souviens toi que tu es une personne merveilleuse qui cache une infinité de ressources et de richesses. Nous sommes très impatients et curieux de découvrir ces trésors, dès que tu te sentiras capable de nous les partager. En attendant, tu as besoin de rebooster ta confiance en toi ? Voici quelques astuces pour t’aider à la cultiver.
Jardiner
Arroser des plantes, les voir fleurir et grandir enrichit notre journée. On ressent dessuite un sentiment de gaité quand un bouquet de fleur décore notre salon. Quelle joie quand la plante grasse oubliée sur la télévision donne une fleur. Et quand l’orchidée décide de renaître après l’hivers. Rempoter, nettoyer, arroser, caresser, encourager. Les plantes ont besoin de nous et de notre attention pour pousser. La nature s’occupe du reste. Jardiner c’est une façon très simple de se sentir utile et de se rendre compte que nos actions portent des fruits, c’est le cas de le dire.
Faire germer des graines
ça rejoint un peu le point précédent. C’est encore plus facile que jardiner. Pour faire pousser des graines germées, pas besoin de se salir les mains avec de la terre. Attrape une poignée d’amandes, de graines de tournesol ou de lentilles dans ton placard. Fais les tremper une nuit, puis rince les deux ou trois fois par jours. En moins d’une semaine, de belles petites pousses sont nées car tu t’en es occupé. Bravo ! Elles décoreront ton assiette, tes salades et te remercieront en te donnant plein de vitamines et de nutriments. Tu peux aussi t’amuser à faire pousser tes noyaux d’avocat, de cerise, d’abricot. Bref la liste est longue. Tu trouveras des mélanges de graines à germer pour tes salades dans toutes les boutiques bio. Avec un paquet à 3 euros, tu devrais en avoir pour un an. C’est abordable l’estime de soi, n’est-ce pas ?
Faire une to-do liste
Je te conseille vivement de te fixer 3 objectifs par jour, les écrire sur un cahier et les cocher en fin de journée. C’est un petit exercice tout simple mais qui marche tellement bien. Dès que tu as fait tes 3 tâches, alors tu es autorisé à rêver, t’amuser ou ne rien faire. Même si tu termines tes trois tâche à 10h du matin, bravo ! Tes tâches peuvent être plus ou moins longue et plus ou moins motivantes. C’est pas grave. Ce qui importe, c’est que tu te fixes des objectifs à la hauteur de là où tu en es aujourd’hui, avec ton estime de toi aujourd’hui. Ni trop haut, ni trop bas. Ecris tes objectifs ce soir pour demain. Et demain soir coches bien tes tâches.
Ecrire les pages du matin
J’ai déjà écris plusieurs articles sur le sujet. J’en ai aussi parlé dans plusieurs de mes vidéos sur Youtube. Cette petite habitude matinale permet de vider ta tête du disque des pensées négatives qui tournent en boucle pour te lâcher les basckets le restant de ta journée. En refermant mon cahier tous les matins, je me sens tellement fière de moi. Je suis encore en pyjama, je n’ai pas encore bu mon café et mes cheveux sont en bataille. J’ai déjà fait une chose de bien, ma journée est déjà productive. Yeah !
Dessiner un mandala
Pourquoi personne ne m’avait donc dit que c’étais si facile ?! Pas besoin d’acheter un cahier de coloriage à la mode, ni de refaire ton stock de feutres. Un papier et un stylo noir seront parfait. Commence par faire un petit cercle ou un escargot au centre de ta feuille. Puis laisse toi aller, dessine des formes géométriques autours. Souviens toi, les impecfections font ta perfection. Dans quelques minutes tu obtiendras un dessin tellement beau. Tu ne savais pas toi même que tu étais capable d’un tel chef-d’oeuvre. Bravo !
Cuisiner ton plat préféré
Les anglophones appellent ça de la « confort food », ce plat qui te fait te sentir à la maison. Un peu de cocooning fait du bien. Tu rêves des crêpes de la fête foraine, du pain perdu de ta grand-mère, de la blanquette de veau de maman ? Aller, allume tes fourneaux et cajole toi avec un bon petit plat. Ou encore mieux, partage le avec un proche. L’occasion de partager cet exploit, une de tes créations.
Tricoter une écharpe
Cet exercice n’est pas réservé aux filles. Bien au contraire. Les hommes aussi tricottent et adorent porter une belle écharpe l’hivers. Tu es débutant(e) ? C’est pas grave, il existe une technique qui requiert deux bras (les tiens), deux pelotes de très grosse laine et 25 minutes de ton temps. Fastoche, non ? En plus on dit que le tricot c’est bon pour le bonheur, la relaxation du mental et plein d’autres trucs cool. (source) Laisse moi te dire qu’après avoir tricotter ta première écharpe tout seul, tu te sentiras bien fière(e) de toi en la portant. Ton estime de toi va grimper en flèche !
Se féliciter
A la fin de la journée, constate tout ce que tu as réalisé. Rapelle toi tous les coups de mains que tu as donné aux personnes que tu as croisé. Ce sourire que tu as fait à la mamie dans le bus, tu lui a égeillé la journée. Un excercice intéressant est celui de te féliciter par des phrases positives en te regardant dans le miroir. Tu te sentira peut-être ridicule les trois premiers jours, mais plus tu fais l’excercice plus tu augmentes ton amour propre. Si tu souhaites aller plus loin, je te conseille le livre de Louise Hay « Transformez votre vie » . Il a vraiment transformé la mienne quand j’étais au plus bas de mon estime de moi.
S’offrir un cadeau
Achète toi un truc qui te donne le sentiment du luxe. Offre toi un truc que tu ne t’autorises pas habituellement. Pour moi c’est un petit carnet de notes d’une marque haute couture finlandaise. Il m’a couté 3 euros, et me transporte dans la sphère du luxe à chaque fois que je le vois. Tu peux t’offrir un cinéma, un repas dans un bon restau, un café dans un hôtel 5 étoiles, une balade en taxi, une nuit dans un appartement de luxe, un porte clé ferrari. Ca peut aussi être un cahier de coloriage ou une belle plante. Laisse parler ton coeur.
J’espère que tu te donneras une chance. Que tu t’autoriseras à faire au moins 3 de ces actions cette semaine, pour commencer à te sentir mieux. Moi je crois en toi et je sais que si tu t’y autorises, tu es capable de faire de belles et grandes choses. Peut-être qu’une fois que tu as testé toutes les choses de cette liste, tu essaiera de faire quelquechose de complètement délirant. Teste un truc nouveau, une activité que tu n’as jamais faite dans ta vie. Reprends une passion que tu as laissé de côté depuis des années. Réalise ton rêve. Dans quelques semaines tu seras tellement fier de toi ! Moi aussi, je serai fière de toi.
La semaine dernière, un lecteur nommé Yassine m’a posé une question au sujet du sens de la vie, et j’ai envie de lui répondre par cet article.
Et si nous étions nés pour une raison bien précise ? Et si notre vie avait une mission ? Celle d’apporter notre contribution à ce monde ? Si c’était le cas, alors tout prendrait sens. Si c’était le cas, nous comprendrions le sens de la vie.
Avons-nous vraiment une mission de vie ? Notre destin est-il dessiné avant notre naissance ? Qui peut vraiment le savoir ? Mais est-ce si important que ça ? Finalement, si savoir que notre vie a un sens nous rend plus heureux, alors restons-en là. Le principal dans la vie, c’est bien d’être heureux, non ? Ou alors, notre quête du bonheur nous mènerait peut-être vers notre réalisation. Et une fois que nous serions réalisés pleinement, nous serions capable d’apporter notre contribution à ce monde ?
Si je te parle de ce sujet aujourd’hui, c’est qu’il m’apparaît désormais comme une évidence. Toutes les routes, toutes mes réflexions aboutissent à cette même conclusion :
Notre expérience doit être transmise, notre connaissance doit être partagée, c’est là le sens de la vie.
Le monde évolue constamment, et pourquoi ? Et bien parce que chaque être humain doté d’un cerveau qui a marché sur notre planète y a apporté sa contribution. Depuis la nuit des temps. Chaque découverte, chaque expérimentation a enrichit les connaissances de l’Homme. L’inconscient collectif se nourrit des histoires de chacun de nous, il apprend avec nous tous.
Nous avons la chance de vivre à une époque où la contribution est reconnue et banalisée. On parle de contribution scientifique lorsqu’un chercheur découvre une nouvelle théorie. On parle de contributeurs sur Youtube, sur Wikipedia, sur la Blogosphère. Chacun contribue au bonheur d’une famille de paysan, à la hauteur de quelques centimes payés pour un paquet de café commerce équitable. L’économie participative est en plein essort. Internet est une grande place de marché où chacun ose maintenant contribuer, apporter sa pierre à l’édifice et partager ce qu’il sait.
J’adore les conférences Ted car elles nous aident à prendre conscience que chacun, quelque soit son parcours, son expérience, son âge, son handicap est capable de nous enseigner quelquechose. Un américain sur mon écran qui me transfère 18 minutes d’espoir et de sourire a largement contribué au bonheur de ma journée.
Comment contribuer ?
Commence par prendre conscience de tout ce que tu sais déjà. La vie t’a offert des milliers d’opportunité d’apprendre. Tu as bien appris les choses que d’autres hommes t’ont enseignés, mais tu as aussi découvert plein de choses par toi même. A chaque fois que tu pose ton regard, tu interprète la réalité qui t’entoure de ton point de vue. Un point de vue qui est orienté par ta personnalité, ton vécu et tes centres d’intérêts.
Ton chemin de vie est la trame qui constitue tout ce que tu es. Personne d’autre que toi n’a suivi exactement le même chemin de vie. Personne d’autre que toi ne vient de là d’où tu viens et ne va là ou tu vas. Personne d’autre que toi ne regarde la réalité comme toi. Tu es unique. Ta contribution est unique.
Authenticité
Alors comment peux-tu contribuer et apporter ta pierre à l’édifice ? Tout simplement en étant toi même. C’est déjà énorme. Oser être toi même, avec ton point de vue, tes habitudes, tes croyances c’est contribuer à l’enrichissement de ce monde. Il ne faut vraiment pas sous-estimer cette partie la. En étant toi même, différent de ton voisin, tu autorises l’autre à en faire de même. Ta vie est déjà une contribution dans ce grand système.
Choix
Tes choix peuvent être une façon consciente de contribuer. Et on assiste de plus en plus à une prise de consicence généralisée. Nous comprenons maintenant que notre pouvoir d’achat est une contribution autant voire plus importante que le droit de vote. Le choix de nos pensées est aussi une contribution importante. Tous les jours, choisir de rayonner l’amour et la paix au lieux de la peur a des conséquences énormes autour de nous.
Parole & Créativité
Finalement, tu peux aussi prendre la parole et exprimer ton opinion. Tu peux transmettre conscienment et dans tes actes ton enseignement. Tu peux écrire des livres, animer des conférences, enseigner à l’université, rédiger des articles en ligne, partager des images, photographier la vie, peindre, colorier, photoshoper, découper, jouer, inventer, filmer, zoomer, décalquer, modifier, déconstruire … L’art est une façon de prendre la parole et de transmettre. Toute forme d’art. La conversation est un art et un don. Avant de nous quitter, mon grand père (un paysan sur son âne devenu éboueur en mercedes), qui nous a déjà tellement transmis de son vivant a décidé de réaliser l’un de ces rêves : écrire son autobiographie et l’envoyer au roi d’Espagne. Qu’elle belle façon de revisiter une vie entière d’apprentissage et de reformuler l’essence.
Ce que j’adore dans le mouvement d’apporter sa contribution à l’humanité, c’est justement le fait d’être en mouvement. Un mouvement de croissance. C’est une action qui nous fait grandir, et donc qui va dans le sens de la vie. Comme une plante qui se ramifie au fûr et à mesure qu’elle capte de l’eau et de la lumière. La vie est croissance, et changement. Accepter d’y contribuer est un choix conscient ou non, mais un choix quand même de participer à la croissance de la vie. Nous construisons.
La vie t’a offert plein de talents, de dons et d’opportunité d’apprendre. Rend lui tous ces cadeaux en apportant à la vie ce qu’elle t’a enseigné, transmet le, partage le. Nous n’attendons qu’une chose, c’est ta contribution. Merci.