5 exercices de gratitude

La gratitude est cette émotion qui nous remplie de joie, de satisfaction et nous fait sourire. Que l’on se sent bien quand on ressent de la gratitude. Il est jouissif d’être reconnaissant. Mais peut-on provoquer cet état d’être ? Mes ( exercices de gratitude pour une vie épanouie.

La gratitude est d’une des émotions dont la fréquence vibratoire est la plus élevée. On le voit bien sur l’échelle des émotions ci-dessous.

Nos pensées provoquent des émotions en nous. Nos émotions ont une influence sur nos ressentit physique et sur la santé de notre corps. Nous sommes capable de choisir les pensées qui nous traversent. Nous sommes donc capable de choisir les émotions que nous souhaitons ressentir pour nous sentir bien et avoir une santé du tonnerre.

Comment ressentir de la gratitude ?

S’il est possible de ressentir de la gratitude quand tout va bien, ce n’est pas toujours aussi simple quand rien ne va plus. Il existe des techniques pour cultiver la gratitude chaque jours. Les émotions et les pensées sont des petites graines que nous semons dans notre jardin intérieur. Les plantes que nous récoltons aujourd’hui sont le résultat de ce que nous avons semé hier.

Alors décidons dès aujourd’hui de semer régulièrement de belles plantes de gratitude, de joie et de bonheur dans notre jardin d’émotions. Pour cela, je mets en place des petites habitudes qui m’obligent à développer le sentiment gratitude.

1- Mon cahier de gratitude

Tous les soirs, j’écris sur mon cahier les cadeaux que la vie m’a offert aujourd’hui. En écrivant, je prends le temps de remercier la vie pour chaque instant, chaque surprise qu’elle m’a réservée. Dans mon bullet journal, j’ai une page dédiée aux kiffs du mois. J’essaye d’en noter un ou deux par jours. Je relie régulièrement mes kiffs des mois précédents, et ça m’aide à me rendre compte que je suis vraiment bénie.

Relire mes gratitudes m’aide à se sentir chanceuse.

2- Ma To-Do List

Dans mon Bullet Journal, je note souvent trois tâches à réaliser le lendemain. Cela m’aide à me concentrer sur l’essentiel avant de m’éparpiller dans d’autres tâches. Sur les pages quotidiennes, j’aime bien noter sur la gauche 3 à 5 tâches à faire. Sur la droite, comme il me reste un peu d’espace libre, je note le soir 3 gratitudes à la volée. Cocher mes tâches m’aide également à ressentir une bonne dose de satisfaction. Savoir que j’ai atteind mon objectif du jour m’aide à me sentir bien. Quand je me sens bien, je suis plus disposée à ressentir de la gratitude pour la vie.

3- Ma formule magique

J’utilise une phrase magique pour réactiver la gratitude dans ma journée : « How does it get any better than this ? » (Comment cela peut-être encore mieux ?). Cette phrase m’aide à me connecter aux cadeaux que la vie m’a déjà envoyé, à tout ce que j’ai déjà. Je ressens ensuite de la gratitude et j’en demande encore plus. Faire des demandes dans la joie de la gratitude donne beaucoup de puissance aux demandes.

4- Ma méditation du matin

« Méditation » c’ est un bien grand mot qui peut faire peur. En fait c’est un simple moment de calme dans lequel on concentre notre attention sur un élément. On peut méditer en observant notre respiration, en visualisant nos objectifs, en explorant une problématique, en accueillant nos ressentits physiques … Moi, le matin, je médite quelques minutes après ma séance de Yoga. Je me concentre quelques minutes sur ma respiration. Ensuite je me connecte à la nature autour de moi : l’arbre dans la cours, le vent, le soleil, la pluie, le chant des oiseaux … Finalement je me plonge dans un bain de gratitude. Je ressens cette émotion dans mon corps et j’observe (les yeux fermés) la beauté de chaque élément autour de moi. Je remercie l’oxygène de m’aider à respirer. Je remercie le soleil de faire brillet les feuilles des arbres.
Après un tel bain de gratitude, la journée commence dans la bonne humeur.

5- La magie du rangement

Tu as sûrement entendu parlé du livre de Marie Kondo « La magie du rangement ». Dans son boukin, elle donne plusieurs astuces pour s’entourer d’objets qui nous remplissent de joie. Une habitude qu’elle propose est celle de replacer chaque objet à sa place le soir en le remerciant pour son service. J’ai adopté cette habitude l’an dernier. Remercier, tous les soir, mes chaussures de m’avoir porté a changé ma vie. Quand je venais de passer une journée horrible dans laquelle il était difficile de trouver un motif pour être heureuse, je pouvais au moins remercier mes chaussures, mon lit et mon pyjama. Ils avaient le mérite d’exister et de m’aimer. Je te conseille cette pratique si tu es persuadé que tu n’as absolument aucun motif pour ressentir de la gratitude. Essaye. Vraiment.

5 minutes de Yoga tous les matins

Depuis plus de trois mois maintenant, j’ai intégré la pratique du Yoga tous les matins dans ma routine quotidienne. Cette pratique m’aide à réveiller mon corps, à me sentir bien dans ma peau dès le réveil. Le Yoga se termine logiquement par quelques minutes de méditation, de calme et de respirations. Ce qui a l’avantage de m’amener à une méditation sans y réfléchir. En pratiquant le yoga j’ai ajouté sans effort mes 10 minutes de méditation systématique. Mes étirements du dos le soulagent et les douleurs sont moins fréquentes. J’arrive à intégrer les excercices que me donne l’ostéopathe dans ma routine.

Après avoir fuit tout concept s’apparentant de près ou de loins à une routine, je comprends finalement maintenant les bénéfices d’une routine. Une routine est une suite de gestes fait de manière automatique, sans avoir besoin d’y dédier trop d’attention. Une routine a besoin d’un élément déclancheur pour démarrer. Elle est adoptée si la personne qui pratique cette routine en reçoit un bénéfice immédiat. Nous sommes déjà acteurs de milliers de routines quotidiennes, qui agissent de façon inconsciente. L’avantage de mettre en place des routines en conscience c’est que l’on peut ainsi influencer les résultats de nos journées.

La routine est une façon de pirater notre systhème de pilote automatique pour lui faire faire des actions constructives. Ensuite on peut simplement traduire un objectif moyen terme en routine quotidienne. Par exemple, je me fixe comme objectif de tonifier mon corps, d’avoir moins mal au dos, de méditer plus souvent. Donc je mets en place ma routine en incluant assez d’éléments pour répondre à tous mes objectifs. Je choisis de faire une routine courte, car je préfère prendre le temps de faire 5 à 10 minutes de yoga tous les matins plutôt que de ne pas prendre l’habitude d’en faire.

 

Oui, avec 5 minutes de Yoga par jour pendant trois mois, je constate déjà les bénéfices.

  • Element déclencheur : Je me réveille et me passe un peu d’eau sur le visage
  • Routine : Je prends mon tapis de Yoga sur l’armoire, et je démarrer ma salutation au soleil. Je termine par quelques minutes assise en tailleur à respirer et méditer.
  • Récompense immédiate : Je me sens réveillée, reconnaissante de vivre une nouvelle journée et mon dos est soulagé.

Ma routine évolue régulièrement en fonction des nouvelles postures de Yoga que je découvre et dont mon corps ressent le besoin. Mais j’essaye de garder quelques éléments clés pour une salutation au soleil équilibrée :

  • Des étirements du dos
  • Des positions d’ouverture
  • Des contres postures en fermeture
  • Des torsions pour nettoyer les organes
  • Des respirations pour agir en conscience
  • Une méditation dans la gratitude

 

J’aime le concept de saluer le soleil le matin. Je le fait comme une marque de respect pour un être qui existe depuis bien plus longtemps que notre planète. J’aime aussi sentir la Terre sous mon corps, et je la remercie aussi d’être là. Elle me porte depuis ma naissance et sera toujours là pour me supporter. Je remercie l’air que je respire et dont ma vie dépend. Je suis reconnaissance pour toute cette abondance d’oxygène que je ne saurai fabriquer. J’écoute avec malice le chant des oiseaux, le vent dans les arbres. Je regarde le scintillement doré du reflet du soleil sur les feuilles des arbres.

Ces quelques éléments simples m’aident à démarrer la journée dans la gratitude et d’admiration pour la nature et la vie. Je suis heureuse d’avoir fait entrer le Yoga dans ma vie.

Interview d’Eve Rose de Psy-Mail

Ce mois-ci j’ai interviewé Eve, la créatrice du site Psy-Mail, une psychologue en ligne.

Bonjour Eve,
Nous avons eu l’occasion d’échanger par email au sujet de nos deux entreprises en ligne.

Pour quelle raison as-tu créé ta société en ligne ?

Bonjour Lucie! C’est un projet que j’avais depuis le début de mes études de psychologie. Je voulais rendre les consultations psychologiques plus simple et plus accessibles, et le travail avec l’écrit m’intéressait beaucoup. Je suis psychologue et thérapeute. J’ai travaillé comme salarié et vacataire dans différents domaines : les addictions, la justice, la petite enfance, la famille, le handicap, la télévision… Et je me suis lancé en 2010, quelques années après avoir terminé mes études, et après avoir acquis une certaine expérience professionnelle.

D’autres personnes dans ta promotion ont eu cette idée de proposer des séances de psychologie en ligne ?

A ma connaissance non, en plus à l’époque cela ne se faisait pratiquement pas en France. Je me suis lancée car je voulais proposer des consultations en ligne pour les rendre accessibles à tout le monde et ce mode de travail m’intéressait beaucoup. Au début je faisais mes consultations que par mail maintenant j’en fait aussi aussi par chat. Quelqu’un qui a un problème dans sa vie ou qui traverse une période difficile et qui ne sait pas vers qui se tourner, là en un mail cette personne peut avoir une réponse à son problème, un soutien et des conseils. C’est aussi rendre accessibles de vraies consultations psychologiques aux personnes qui ne peuvent pas consulter de façon traditionnelle pour des raisons personnelles, géographiques, d’emploi du temps ou autres…
Aussi pour certaines personnes c’est plus facile d’envoyer un mail ou de consulter par chat, de consulter en ligne que de consulter en face à face. Il peut être difficile d’aller consulter un psychologue, les gens ont encore une image négative du fait de consulter un psy. Alors qu’en fait un psychologue c’est simplement un outil pour aller mieux, pour mieux se comprendre et pour dépasser ses difficultés avec bienveillance.

Vois-tu des différences entre les consultations par e-mail et en face à face ?

On ne peut pas vraiment comparer car ce n’est pas le même type de travail. Cependant le point commun est que les consultations en ligne ont autant d’efficacité que celles en cabinet, cela a été étudié et prouvé scientifiquement. Et le retour et les témoignages des personnes sur leurs consultations le confirment. C’est aussi une question de choix personnel, certains ont besoin d’avoir un contact physique réel (être en face à face) avec un thérapeute d’autres non. Avec les consultations en ligne certaines personnes se sentent plus libres de se confier aussi.

La particularité des consultations en ligne, c’est aussi que les personnes peuvent juste en une consultation bénéficier d’un avis sur une situation ou un problème, par exemple. Ensuite libres à elles d’approfondir les choses et de continuer le travail sur elles, et là c’est comme dans une thérapie classique.

Comment faire pour oser se lancer dans la création de sa propre activité ?

Selon moi il faut laisser murir son idée, le projet se construit de toute façon dans votre tête petit à petit. Il y a un temps où les choses se construisent sans que l’on en ait conscience, d’une certaine façon les choses, les idées infusent en vous sans que vous vous en rendiez compte. Et à un moment je me suis sentie prête. Et je me suis aussi dit que de toute façon je n’avais rien à perdre, donc autant sauter le pas. Je me suis aussi dit que si je ne le faisais pas je le regretterais toute ma vie. J’ai remarqué que l’on regrette plus ce que l’on n’a pas fait que ce que l’on a fait. Car ce que l’on a fait, si on regrette, souvent on peut agir dessus, alors que ce que l’on n’a pas fait est perdu.

J’en ai des frissons. Quelles ont été tes démarches ?

Aucune, j’ai tout fait seule, je n’ai même pas été voir d’autres professionnels. J’ai juste attendu de me sentir prête. Et quand j’ai ressenti que j’étais prête, j’ai suivit mon intuition et mon envie. Et j’ai fait les démarche pour déclarer mon activité et créer mon site internet.
En fait une fois que l’on a passé un certain stade de réflexion, que les choses ont suffisamment infusé, on est prêt, presque malgré soi, cela ne veut pas dire que c’est le bon moment c’est juste que l’on ressent qu’on peut se lancer, qu’on est prêt si on veut. Et je ne suis pas sûre qu’il y ait un bon moment, en fait je pense qu’il n’y a jamais de bons moments. Si ce projet est important il faut se lancer un jour, il n’y a pas vraiment de bons moments à attendre.

Quelles sont les grandes étapes ?

J’avais déjà créé le nom de mon espace de consultations en ligne. Quand je me suis lancée, la première étape a été de me renseigner sur les statuts et de choisir le statut qui me conviendrait le mieux. Ensuite j’ai cherché comment créer un site internet. On l’a créé avec mon mari en suivant un tutoriel. On a créé le site et on l’a installé, trouvé un hébergeur… Je n’avais pas les moyens de prendre un webmaster, donc c’était artisanal. Ensuite j’ai commencé à me faire connaitre par des publicités et par mon entourage puis mes clients. Tout s’est fait petit à petit. J’avais un autre travail en parallèle à l’époque.

Et depuis cette année j’ai décidé d’en faire mon activité principale. Du coup j’ai refait tout le site internet. J’ai proposé les consultations par chat. J’ai aussi créé une page Facebook, alors que je ne connaissais pas du tout Facebook, ni les réseaux sociaux, car je ne les utilisais pas dans ma vie. J’exerce du coup mon métier en ligne et j’aimerai aussi organiser des groupes de parole (à Paris). C’est quelque chose que j’ai déjà fait dans le domaine des addictions. J’aimerai bien faire des groupes de parole, peut-être sur la recherche d’emploi, en fait pour les personnes qui sont dans une situation de recherche d’emploi au cours de leur vie, comment optimiser ce temps et cette période de leur vie et quel sens cela peut avoir… (j’ai fait un Ebook gratuit sur ce sujet, accessible sur mon site) J’ai d’autres projets dans d’autres domaines aussi.

Quel est ton message ?

Le sujet qui revient souvent dans mes consultations au final c’est vraiment apprendre à s’aimer et prendre soin de soi. Cela se rapproche de ton message Lucie : « oser vivre sa vie et ses rêves, les réaliser » . Mon message pourrait être: travailler sur soi, apprendre à s’aimer et se découvrir, comprendre le sens de ce qui nous arrive et ce que l’on ressent, avancer et dépasser ses difficultés avec bienveillance.

Souvent quand on parle de Psy on a l’impression qu’on va avoir besoin de dix ans d’analyse et que c’est  une prise de tête… Mais en fait pas du tout. Parfois en une consultation on arrive à débloquer des choses. Consulter peut être très simple et accessible. Une de mes intentions avec mon espace de consultation en ligne et ma pratique c’est de faire changer le regard sur les psychologues et la thérapie. En fait on est un outil pour l’autre personne, pour avancer et dépasser ses difficultés, pour mieux se comprendre et avoir un autre regard sur une situation ou un problème. On est un outil pour apprendre à s’aimer et à se respecter, à dépasser ses difficultés avec bienveillance.
Mon message : « prenez soin de vous parce que c’est vous ! » Et savourez la vie…

Merci Eve pour cette interview avec toi. C’est très apaisant de discuter avec toi. A bientôt !

Merci à toi Lucie, c’est très agréable d’échanger avec toi. A bientôt !

Après le digital, mon Bullet Journal m’aide à me recentrer

Coucou toi,

Comme tu le sais, après mes études je suis entrée la tête la première dans la grande secte du digital. Non je rigole. Mais bon, tu comprends le délire. J’ai petit à petit digitalisé tous mes documents administratifs. J’ai pris l’habitude de noter toutes mes idées sur un support numérique.

L’ultra digitalisme

Tu veux vraiment savoir ? ok. Alors mes applications préférées pour synchroniser mes données c’est : Dropbox, Google Drive, Gmail, Youtube, Trello, Google Agenda, Google Keep, Evernote. J’ai utilisé plein d’autres applications. Et puis j’en ai vendu et testé des centaines. Je trouvais fantastique l’idée de pouvoir trouver une application répondant à chaque type de besoin.

  • Pour noter un évènement : Google agenda
  • Pour scanner un document : Evernote
  • Pour ma liste de courses : Google Keep
  • Pour le doc que m’a envoyé la secrétaire : Google Drive

Tu as compris le truc. Du coup à chaque fois que je dois chercher une information ou la stocker, je dois me rapeller quelle est ma règle. Et en fait mine de rien c’est un point de mon capital « prise de décision » qui s’envole en fumée à chaque fois. A la fin, ça devient épuisant. Maintenant que j’y repense je me sens comme écartelée entre toutes ces applications, tous ces logiciels.

J’ai découvert le Bullet Journal en septembre 2015, et j’avais un petit carnet sous la main, celui que l’on voit dans ma vidéo sur mon sac à doc de digital nomade (minute 2’20).

J’ai fait la tentative, j’ai essayé de faire un bullet journal simplifié avec des objectifs mensuels. L’idée me séduisait, mais concrètement je n’avais jamais l’occasion de sortir mon cahier, mon stylo pour prendre des notes. Mon journal est resté au fond de mon sac à dos.

Quand j’ai quitté mon emploi, j’ai eu cette envie d’écrire. J’ai commencé par écrire sur ordinateur, puis j’ai re-exploré le papier. Mon petit carnet me suivait partout, je prennais des notes des concepts que je découvrais et des réflexions que je menais. J’aimais bien cette idée de pouvoir retrouver dans un cahier à spirale l’essentiel de ma réflexion en période charnière. C’est d’ailleurs grâce à ce carnet que plusieurs mois plus tard j’ai publié mon programme de 21 jours pour trouver sa mission de vie.

Finalement, le livre de Julia Cameron s’est imposé dans ma vie. J’ai suivi son programme de 12 semaines pour libérer ma créativité. J’ai bien écrit mes trois pages tous les matins, sur un cahier dédié aux pages du matin.

J’ai donc finit par accepter l’idée de me promener avec un, deux ou même parfois trois cahiers pour noter mes idées, mes dépenses, suivre des formations, faire des listes et des dessins. Je me sentait prête à donner une place d’honneur au cahier dans ma vie. J’en avais une profonde envie. Quand, comme par magie, Solange Te Parle sort une vidéo sur son Bullet Journal. Sa vidéo a été une grande révélation. C’est tellement simple qu’on y avait pas pensé !

 

C’est quoi un Bullet Journal ?

C’est un cahier pour s’organiser. Il sert à trois choses :

  • se souvenir du passé
  • organiser le présent
  • planifier l’avenir

 

Quelques règles :

  • Cela fonctionne sur tout type de cahier (blanc, noir, à carreau, lignes, points, petit, grand) chacun sa personnalité
  • Chaque page contient un titre (liste du père Noël, choses à dire à mon patron, objectifs pour le mois de novembre)
  • On numérote les pages et on reporte le titre et le numéro de la page dans l’index, au début du carnet
  • On ne saute pas de page, on écrit toujours sur la page suivante
  • Les pages spéciales :
    • Le panorama semestriel
    • La page mensuelle avec les dates, évènements et les objectifs du mois
    • Eventuellement la page hebdomadaire avec les évènement et tâches de la semaine
    • Et des pages de jour, avec les tâches de la journée (il n’est pas obligatoire de le faire tous les jours)

On note les listes de tâches avec des points. En fin de journée on coche les points si la tâche est réalisée. On migre la tâche vers un autre jour le cas échéant. Ou on la raye si elle n’est plus pertinente.

La révélation

J’ai vraiment eu l’impression de recevoir l’illumination. C’est tellement logique, je suis la même personne dans le passé, le présent, et l’avenir. Pourquoi chercher à me diviser ? Je suis la même personne qui a des idées à noter en vrac, des réflexions intimes, des listes de courses et des évènements à noter. L’important est de pouvoir noter ses idées quand elles arrivent, qu’importe l’heure et le lieu, puis de pouvoir retrouver facilement ces idées.

Je ne me pose plus la question « où puis-je bien noter cette idée ? Boh, je m’en souviendrai, de toute façon je sais pas trop où l’écrire » . Maintenant je note avec plaisir dans mon cahier pour qui j’ai développé un profond amour. Et écrire des idées dans l’amour, c’est vraiment puissant, car cela m’aide à aimer chacune des tâches que je dois réaliser. Et le soir je coche avec plaisir les tâches, je m’amuse à colorier les barres d’avancement.

Comme je prends plaisir à écrire dans mon cahier, j’écris plus d’idées sans me sentir enhavie de papiers, post-it, affiches, tickets … Et j’ai l’impression d’avancer plus vite dans mes tâches et mes projets. Cet agenda apparement sans structure, me donne en fait toute la structure dont j’ai besoin pour me libérer et me concentrer sur ma créativité.

C’est le parfait mélange entre flexibilité et structure. Un agenda papier est trop structuré et pas forcément adapté à tous nos besoins. Les pages de notes sont trop petites ou peu nombreuses, les semaines de vacances restent vident.

Le Bullet Journal est l’application qui convient à tous mes usages. C’est une apps modulable à volonté, sans avoir besoin de contacter l’équipe de développeurs pour ajouter une fonctionnalité.

Un cahier pour être 100% soi même

Ecrire dans un même cahier mon bilan de la semaine, mes idées de projets, mes listes de livres à lire, mes rendez-vous de la semaine, et l’avancement sur mes tâches du jour, c’est jouissif ! Tout est concentré dans un petit cahier. Ce petit cahier est une expression intime de ma personnalité. Je suis chacune des pages de mon cahier. Je suis organisée, j’aime planifier, j’aime griffoner, dessiner et colorier, j’aime écrire mon journal intime. Je coche les jours où j’ai bien fait ma routine du matin, mangé du gluten ou fumé une cigarette. J’ai une page dédiée à mes excercices de gratitude. Une autre page est dédiée à l’avancement des formations que je suis en ligne.

Ce cahier m’aide à me recentrer. Je me pose moins de questions. Je suis plus disponible pour ma créativité et ma productivité.

Un grand amour

Ce que j’aime par dessus tout c’est l’idée que j’écris en fait un journal qui pourrait être un livre que je relierais plus tard. C’est un concentré de mes activités et réflexions du moment, qui suivent une chronologie. Je vis le cahier. Le cahier vis ma vie. Nous ne sommes qu’un. Mais quand les pages blanches se termineront, l’heure arrivera de passer au cahier suivant, alors je me séparerai du cahier bleu pour passer au cahier blanc. Le cahier bleu sera cette partie de moi que j’étais entre septembre 2016 et décembre 2016. C’est un témoin précieux.

Je penses que relire un bullet journal est plus intéressant que de relire un journal intime car il est plus complet et nous donne à nous même un panorama de ce à quoi nous portions de l’importance à une époque donnée.

En résumé, j’adore mon Bullet Journal. C’est mon plaisir quotidien. Je remercie le digital pour toute la liberté qu’il m’a donné à une époque où j’étais déjà bien structurée par les contraintes universitaires et professionnelles. Mais je choisis délibérément de lui être infidèle car mon histoire d’amour avec le BuJo (= Bullet Journal) est encore plus excitante. Tu comprends, avec lui je me sens vivante, sauvage. Avec lui je suis enfin moi même. J’ose créer.

Après le digital, mon Bullet Journal m’aide à me recentrer

Coucou toi,

Comme tu le sais, après mes études je suis entrée la tête la première dans la grande secte du digital. Non je rigole. Mais bon, tu comprends le délire. J’ai petit à petit digitalisé tous mes documents administratifs. J’ai pris l’habitude de noter toutes mes idées sur un support numérique.

L’ultra digitalisme

Tu veux vraiment savoir ? ok. Alors mes applications préférées pour synchroniser mes données c’est : Dropbox, Google Drive, Gmail, Youtube, Trello, Google Agenda, Google Keep, Evernote. J’ai utilisé plein d’autres applications. Et puis j’en ai vendu et testé des centaines. Je trouvais fantastique l’idée de pouvoir trouver une application répondant à chaque type de besoin.

  • Pour noter un évènement : Google agenda
  • Pour scanner un document : Evernote
  • Pour ma liste de courses : Google Keep
  • Pour le doc que m’a envoyé la secrétaire : Google Drive

Tu as compris le truc. Du coup à chaque fois que je dois chercher une information ou la stocker, je dois me rapeller quelle est ma règle. Et en fait mine de rien c’est un point de mon capital « prise de décision » qui s’envole en fumée à chaque fois. A la fin, ça devient épuisant. Maintenant que j’y repense je me sens comme écartelée entre toutes ces applications, tous ces logiciels.

J’ai découvert le Bullet Journal en septembre 2015, et j’avais un petit carnet sous la main, celui que l’on voit dans ma vidéo sur mon sac à doc de digital nomade (minute 2’20).

J’ai fait la tentative, j’ai essayé de faire un bullet journal simplifié avec des objectifs mensuels. L’idée me séduisait, mais concrètement je n’avais jamais l’occasion de sortir mon cahier, mon stylo pour prendre des notes. Mon journal est resté au fond de mon sac à dos.

Quand j’ai quitté mon emploi, j’ai eu cette envie d’écrire. J’ai commencé par écrire sur ordinateur, puis j’ai re-exploré le papier. Mon petit carnet me suivait partout, je prennais des notes des concepts que je découvrais et des réflexions que je menais. J’aimais bien cette idée de pouvoir retrouver dans un cahier à spirale l’essentiel de ma réflexion en période charnière. C’est d’ailleurs grâce à ce carnet que plusieurs mois plus tard j’ai publié mon programme de 21 jours pour trouver sa mission de vie.

Finalement, le livre de Julia Cameron s’est imposé dans ma vie. J’ai suivi son programme de 12 semaines pour libérer ma créativité. J’ai bien écrit mes trois pages tous les matins, sur un cahier dédié aux pages du matin.

J’ai donc finit par accepter l’idée de me promener avec un, deux ou même parfois trois cahiers pour noter mes idées, mes dépenses, suivre des formations, faire des listes et des dessins. Je me sentait prête à donner une place d’honneur au cahier dans ma vie. J’en avais une profonde envie. Quand, comme par magie, Solange Te Parle sort une vidéo sur son Bullet Journal. Sa vidéo a été une grande révélation. C’est tellement simple qu’on y avait pas pensé !

 

C’est quoi un Bullet Journal ?

C’est un cahier pour s’organiser. Il sert à trois choses :

  • se souvenir du passé
  • organiser le présent
  • planifier l’avenir

 

Quelques règles :

  • Cela fonctionne sur tout type de cahier (blanc, noir, à carreau, lignes, points, petit, grand) chacun sa personnalité
  • Chaque page contient un titre (liste du père Noël, choses à dire à mon patron, objectifs pour le mois de novembre)
  • On numérote les pages et on reporte le titre et le numéro de la page dans l’index, au début du carnet
  • On ne saute pas de page, on écrit toujours sur la page suivante
  • Les pages spéciales :
    • Le panorama semestriel
    • La page mensuelle avec les dates, évènements et les objectifs du mois
    • Eventuellement la page hebdomadaire avec les évènement et tâches de la semaine
    • Et des pages de jour, avec les tâches de la journée (il n’est pas obligatoire de le faire tous les jours)

On note les listes de tâches avec des points. En fin de journée on coche les points si la tâche est réalisée. On migre la tâche vers un autre jour le cas échéant. Ou on la raye si elle n’est plus pertinente.

La révélation

J’ai vraiment eu l’impression de recevoir l’illumination. C’est tellement logique, je suis la même personne dans le passé, le présent, et l’avenir. Pourquoi chercher à me diviser ? Je suis la même personne qui a des idées à noter en vrac, des réflexions intimes, des listes de courses et des évènements à noter. L’important est de pouvoir noter ses idées quand elles arrivent, qu’importe l’heure et le lieu, puis de pouvoir retrouver facilement ces idées.

Je ne me pose plus la question « où puis-je bien noter cette idée ? Boh, je m’en souviendrai, de toute façon je sais pas trop où l’écrire » . Maintenant je note avec plaisir dans mon cahier pour qui j’ai développé un profond amour. Et écrire des idées dans l’amour, c’est vraiment puissant, car cela m’aide à aimer chacune des tâches que je dois réaliser. Et le soir je coche avec plaisir les tâches, je m’amuse à colorier les barres d’avancement.

Comme je prends plaisir à écrire dans mon cahier, j’écris plus d’idées sans me sentir enhavie de papiers, post-it, affiches, tickets … Et j’ai l’impression d’avancer plus vite dans mes tâches et mes projets. Cet agenda apparement sans structure, me donne en fait toute la structure dont j’ai besoin pour me libérer et me concentrer sur ma créativité.

C’est le parfait mélange entre flexibilité et structure. Un agenda papier est trop structuré et pas forcément adapté à tous nos besoins. Les pages de notes sont trop petites ou peu nombreuses, les semaines de vacances restent vident.

Le Bullet Journal est l’application qui convient à tous mes usages. C’est une apps modulable à volonté, sans avoir besoin de contacter l’équipe de développeurs pour ajouter une fonctionnalité.

Un cahier pour être 100% soi même

Ecrire dans un même cahier mon bilan de la semaine, mes idées de projets, mes listes de livres à lire, mes rendez-vous de la semaine, et l’avancement sur mes tâches du jour, c’est jouissif ! Tout est concentré dans un petit cahier. Ce petit cahier est une expression intime de ma personnalité. Je suis chacune des pages de mon cahier. Je suis organisée, j’aime planifier, j’aime griffoner, dessiner et colorier, j’aime écrire mon journal intime. Je coche les jours où j’ai bien fait ma routine du matin, mangé du gluten ou fumé une cigarette. J’ai une page dédiée à mes excercices de gratitude. Une autre page est dédiée à l’avancement des formations que je suis en ligne.

Ce cahier m’aide à me recentrer. Je me pose moins de questions. Je suis plus disponible pour ma créativité et ma productivité.

Un grand amour

Ce que j’aime par dessus tout c’est l’idée que j’écris en fait un journal qui pourrait être un livre que je relierais plus tard. C’est un concentré de mes activités et réflexions du moment, qui suivent une chronologie. Je vis le cahier. Le cahier vis ma vie. Nous ne sommes qu’un. Mais quand les pages blanches se termineront, l’heure arrivera de passer au cahier suivant, alors je me séparerai du cahier bleu pour passer au cahier blanc. Le cahier bleu sera cette partie de moi que j’étais entre septembre 2016 et décembre 2016. C’est un témoin précieux.

Je penses que relire un bullet journal est plus intéressant que de relire un journal intime car il est plus complet et nous donne à nous même un panorama de ce à quoi nous portions de l’importance à une époque donnée.

En résumé, j’adore mon Bullet Journal. C’est mon plaisir quotidien. Je remercie le digital pour toute la liberté qu’il m’a donné à une époque où j’étais déjà bien structurée par les contraintes universitaires et professionnelles. Mais je choisis délibérément de lui être infidèle car mon histoire d’amour avec le BuJo (= Bullet Journal) est encore plus excitante. Tu comprends, avec lui je me sens vivante, sauvage. Avec lui je suis enfin moi même. J’ose créer.

Les graines germées

Depuis plusieurs années j’ai découvert les graines germées et je les ai intégrées dans mon alimentation. Elles sont faciles et ludiques à produire. C’est un rapport vitamine-prix très intéressant. Elles viennent égayer une assiette en toute simplicité. Alors j’ai décidé de t’en parler, parce que ça serai dommage de passer à côté.

Qu’est-ce que c’est ?

C’est le stade initial de croissance d’une plante. La graine sèche est réhydratée, puis arrosée régulièrement pour devenir une graine germée, une jeune pousse et finalement une belle plante ou un arbre. A ce stade initial, la graine germée est un concentré de vitalité. Toutes les enzymes sont prêtes à faire grandir une plante, les vitamines se multiplient. Elle est encore riche de nutriments nécessaire à la croissance de la graine.
On a l’habitude de les manger plutôt crues, car c’est sous cette forme là qu’elles conservent le plus d’enzyme. Le processus de germination est intéressant, car il réalise une préparation à la biodisponibilité des nutriments. Les graines germées sont en quelques sortes prédigérées.
Que des avantages ! Elles sont plus nourissantes, moins chères et plus facile à digérer que les légumes habituels ! Pourquoi s’en priver ?

Fort apport vibratoire

Au niveau énergétique, et si on se base sur les travaux d’André Bovis (1930) l’énergie vitale des graines germées fait partie de la cathégorie des aliments ayant un taux vibratoire le plus élevé.

  • Taux vibratoire fort : Herbes, légumes, céréales, graines et jeunes pousses. Ces aliments permettent la régénération du corps.
  • Taux vibratoire nomal : Fruits, baies, légumes, graines, céréales, herbes. Ces aliments bioactifs permettent la santé de l’individus, si cultivé sans OGM, ni pesticides ou produits chimiques.
  • Taux vibratoire faible : Nourriture dégradée par la cuisson, la réfrigération ou congélation. Ils n’apportent pas grand chose en terme de nutrition et assurent un fonctionnement minimum.
  • Taux vibratoire inexistant : Les produits ayant subit des modifications, transformation, raffinage, cuisson, conservation. Ils peuvent être nocifs et n’apportent pas de vitalité.

 

Quelles graines faire germer ?

On peut presque tout faire germer, sauf certaines plantes comme la tomate qui contiennent des éléments toxiques au stade de germination. Renseigne toi avant de tester une nouvelle plante.
Pour commencer voici quelques idées :

  • Des céréales : riz, quinoa, sarrasin, blé, orge, avoine, épautre, seigle, millet, maïs, kamut …
  • Des légumineuses : lentille, pois chiches, haricot hazuki, haricot mungo (soja), chanvre, petit pois
  • Des oléagineux : amandes, tournesol, lin, sésame, noisette, noix de cajou, graines de chia
  • Des graines potagères : alfalfa (= luzerne), roquette, brocoli, cresson, poireau, radis, trèfles, navet, pourpier, choux, celeri, carotte, betterave, épinard
  • Des plantes aromatiques : moutarde, fenugrec, raifort, fenouil, persil, cumin, coriandre

Comment faire germer les graines ?

On commence par un temps de trempage des graines, entre 6 et 12 heures en général, en fonction du type de graine. Tremper signifie simplement plonger les graines dans de l’eau, comme tu as déjà l’habitude de faire avec les pois chiches et lentilles avant de les faire cuire. En général, j’utilise ces temps de trempage :

  • 6 heures pour les amandes
  • 12 heures pour les lentilles
  • 6h pour l’alfalfa (= luzerne)
  • 6h pour le tournesol

Une fois le trempage terminé, on rince une fois les graines, puis on les arrose deux ou trois fois par jours. L’idéal est de les laisser dans une pièce à température ambiante (entre 18 et 25 °C) pas trop exposé à la luminosité les premiers jours. En général à partir du troisième jour, je place mon bocal d’alfalfa proche de la fenêtre pour développer la chlorophyle jusqu’au cinquième jour. Et puis hop, direction l’assiette !

  • Amande : on peut les manger après le trempage
  • Lentilles : 2 à 5 jours d’arrosage
  • Alfalfa : 5 à 7 jours
  • Tournesol : 2 jours
  • Pois chiche : 3 jours
  • Sarrasin : 1 à 3 jours
  • Poireau : 10 à 15 jours
  • Blé : 2 à 3 jours

Pour le matériel, j’utilise un simple bocal en verre, avec une gaze ou tissus de type grille et un élastique. En général c’est largement suffisant. Il est important que l’intérieur du bocal soit bien aéré entre deux rinçages, pour éviter le développement de pourriture. Pour obtimiser l’aération du bocal, en général on place le bocal incliné proche de l’évier. Ainsi l’eau s’écoute et l’air peut entrer facilement.

 

Idées de recettes :

Les idées de recettes sont infinit, mais on s’est tous déjà retrouvé avec des graines germées dans un bocal sans trop savoir quoi en faire. Alors pour démarrer tes expérimentations, voici quelques idées :

  • Chia Pudding : Un petit déjeuner très tendance dans le milieu fitness et cuisine bio. Les graines de chia sont considérées comme un super aliment. On place une cuillère à soupe de graines dans un verre d’eau (ou de lait). Après une nuit de trempage, les graines forment ce qu’on appelle un mucilat, c’est à dire une texture gélatineuse. Tu peux y ajouter du miel, des fruits, du yaourt ou des flocons d’avoines pour un petit déj’ bien copieux et vitaminé. 
  • Soupe miso avec pousses de soja : Les pousses de soja que l’on trouve partout dans la cuisine asiatique sont très facile à fabriquer à la maison. Utilise des graines de haricot mungo (le soja vert). 
  • Hummos quasi-cru : Prépare des graines de pois chiche germées pendant 3 jours. Lave bien les graines et plonge les 2 minutes dans de l’eau bouillante pour éliminer les toxines des graines. Prépare ensuite ton hummos comme d’habitude avec un filet d’huile d’olive, le jus d’un citron, du sel, du paprika, de l’ail, et de la purée de sésame (ou alors des graines dermées de sésame ?). Tu peux aussi tenter d’ajouter un bout de courgette crue. Mixe le tout pour une pâte à tartiner sympa !
  • Lait d’amande : Fait tremper une poignée d’amande pendant 6 heures. Mixe les dans un blendeur avec de l’eau. Filtre les particules avec un chinois, ou un sac en tissus. 
  • Jus de blé vert : Avec le jus d’orge ce sont des super aliments connus pour leurs vertues regénérantes. On attend que les graines de blé ou d’orge deviennent de l’herbe, on coupe l’herbe et on en fait des jus à l’extracteur de jus. En général les adeptes en boient un shot de quelques mililitres le matin à jeûn, car c’est très puissant. 
  • Galettes crues déshydratées de sarrasin et lin, c’est une astuce qu’utilisent les crudivores pour remplasser le pain sans utiliser de gluten ni de cuisson. La caractéristique du sarrasin et du lin c’est que comme le chia, ils produisent un mucilat (texture gélatineuse) qui peut être utilisé comme liant pour fabriquer des galettes séchées. C’est aussi la technique utilisée pour faire le pain essene