Voilà un an maintenant que j’ai quitté mon poste en CDI, et 6 mois que j’ai créé ma société en ligne. On fait le bilan ?
En sortant d’un métier passionnant qui prenait toute mon attention et mon énergie, j’ai eu besoin de quelques mois pour décrocher. Oui j’étais accros. Je me suis obligée à suivre quelques mois de désintox pour réapprendre à vivre, dormir, manger. J’ai fait un bilan sur mon parcours et mes envies. J’ai changé 10 fois d’idées sur le métier que j’avais envie d’exercer. J’ai accepter l’idée que je ne serai peut-être plus apte au « monde du travail », et que ce ne serai pas un mal. J’ai décidé de sortir du système pour créer mon propre modèle.
Finalement je ne me suis pas fixée sur un nom de métier. La définition de mon rôle évolue régulièrement :
coach de vie
youtubeuse
bloggeuse
webformatrice
coach du changement
Ces noms ne font que décrire ce que je fais. Mais le plus important c’est pourquoi je le fais. Tout ce que je fais depuis un an, c’est pour aider d’autres personnes à sortir d’un modèle qui ne leur convient plus. Je veux aider tout un chacun à pouvoir trouver sa mission de vie, être authentique et aligné avec ses valeurs personnelles. Mon but est d’aider chaque citoyen à incarner le changement qu’il aimerait voir.
A quoi ressemblent mes projets ?
Après 6 mois de micro actions alignées avec ce en quoi je crois, je commence à voir des premiers résultats. On me l’avait dit, et je confirme, quand on crée un blog, c’est bien les 6 premiers mois les plus difficiles. Il faut travailler sans obtenir de résultats pour construire un mécanisme qui met du temps avant de porter ses fruits.
Je construis tout ce mécanisme car je me base sur les croyances suivantes :
Aujourd’hui nous faisons plus confiance à un consommateur lambda qu’à une grande marque disposant d’un service marketing.
Grâce à internet et au cloud, nous sommes capable d’automatiser beaucoup de choses, pour travailler moins d’heures.
Travailler seul demande beaucoup moins d’énergie que travailler en équipe, ce qui permet encore une fois de diviser le nombre d’heure.
Le bonheur se trouve dans les petites choses, pas seulement dans le travail.
Si chacun trouvait en lui le courage de suivre ses rêves, notre monde serait tellement plus beau et agréable à vivre. Les inégalités disparaîtraient.
C’est en travaillant sur les blocages de chacun que nous arriverons à débloquer le tout.
C’est donc en suivant ces grands principes que j’ai construit :
Le mois dernier j’ai été voir Lilou Macé et Arnaud Riou à la Cigale. Je suis contente de leur apporter mon soutient et de les suivre. Ils m’apportent beaucoup et m’inspirent tous les jours.
Depuis maintenant 4 ans j’aide Lilou à traduire des vidéos, aider la communauté des traducteurs et organiser les évènements. J’adore l’énergie qui rode autour d’elle. C’est inspirant, une vrai communauté est née. Les fans de lilou se reconnaissent dan sla rue au détours d’une phrase. Toi aussi tu es un délicieux cocréateur ? On se parle de notre défi des 100 jours, on se partage nos réflexions les plus intimes sans se connaître. On se retrouver dans des cafés pour se rencontrer par villes. Nous sommes 40 000 participants francophones sur le site du défi des 100 jours.
J’ai découvert Arnaud Riou, comme de nombreux écrivains inspirants grâce à La Télé de Lilou qui les interviewe. J’ai été le suivre en conférence à Pau lors d’un atelier au 6° symposium international. J’ai adoré son approche simple, concrête du chamanisme. Avec lui on a vraiment le sentiment que le chaman a toute sa place dans l’entreprise et la vie citadine. Il nous a fait faire quelques exercices de reconnexion les uns aux autres très intéressants.
J’ai lu son livre « Réveillez le chaman qui est en vous » et j’étais remplie de joie en constatant que sans avoir jamais étudié le chamanisme, j’avais déjà validé 90% des chapitres dont il parle. Comme quoi tous les chemins mènent à Rome. Le pouvoir des couleurs, des éléments, des animaux et la communication avec les guides est vraiment universelle. Quand on fait un parcours de recherche de sens, de quête spirituelle, la vie nous guide tous dans les mêmes directions. Il y a des étapes nécessaires à passer pour arriver à un certain stade de compréhension, puis pour nous aider à ouvrir notre coeur.
Le mois dernier j’ai été voir Lilou Macé et Arnaud Riou à la Cigale. Je suis contente de leur apporter mon soutient et de les suivre. Ils m’apportent beaucoup et m’inspirent tous les jours.
Depuis maintenant 4 ans j’aide Lilou à traduire des vidéos, aider la communauté des traducteurs et organiser les évènements. J’adore l’énergie qui rode autour d’elle. C’est inspirant, une vrai communauté est née. Les fans de lilou se reconnaissent dan sla rue au détours d’une phrase. Toi aussi tu es un délicieux cocréateur ? On se parle de notre défi des 100 jours, on se partage nos réflexions les plus intimes sans se connaître. On se retrouver dans des cafés pour se rencontrer par villes. Nous sommes 40 000 participants francophones sur le site du défi des 100 jours.
J’ai découvert Arnaud Riou, comme de nombreux écrivains inspirants grâce à La Télé de Lilou qui les interviewe. J’ai été le suivre en conférence à Pau lors d’un atelier au 6° symposium international. J’ai adoré son approche simple, concrête du chamanisme. Avec lui on a vraiment le sentiment que le chaman a toute sa place dans l’entreprise et la vie citadine. Il nous a fait faire quelques exercices de reconnexion les uns aux autres très intéressants.
J’ai lu son livre « Réveillez le chaman qui est en vous » et j’étais remplie de joie en constatant que sans avoir jamais étudié le chamanisme, j’avais déjà validé 90% des chapitres dont il parle. Comme quoi tous les chemins mènent à Rome. Le pouvoir des couleurs, des éléments, des animaux et la communication avec les guides est vraiment universelle. Quand on fait un parcours de recherche de sens, de quête spirituelle, la vie nous guide tous dans les mêmes directions. Il y a des étapes nécessaires à passer pour arriver à un certain stade de compréhension, puis pour nous aider à ouvrir notre coeur.
Nous grandissons sur la Terre. Elle nous nourris et nous portes à chaque pas. Quelle relations as-tu avec notre planète ?
L’ancrage est un autre mot pour parler d’enracinement quand on parle de développement personnel. C’est un peu le point de départ de tout chemin.
L’arbre a besoin d’avoir de bonnes racines pour pouvoir fleurir.
L’homme a des racines, il les associe souvent à ses origines. Son ancrage à la Terre est nécessaire pour maintenir son équilibre. Il repose sur ces deux pieds et la tête pointe vers le ciel. Le corps humain est un tuyaux, un canal entre le ciel et la terre. L’importance de la verticalité est connue par tous les pratiquants de la méditation et de la prière. Il est fortement recommandé d’avoir bien les pieds sur terre avant d’initier une méditation ou un voyage astral car c’est ce qui va nous éviter de nous perdre. La Terre est une énorme source d’énergie.
Être enraciné c’est avoir les pieds sur terre.
Le chakra racine
On l’appelle aussi Muladhara. C’est le premier Chakra, celui qui est représenté par la couleur rouge. Il est associé à tous les membres inférieurs : les jambes, les pieds et les organes reproducteurs.
Ce chakra est associé à la réalité, la matérialisation, l’incarnation. C’est la manifestation du concret, du palpable. Certaines personnes sont plus ancrées que d’autres. On les reconnait par leur discours concret et précis.
Quelques pratiques pour bien s’ancrer
Imaginer des racines qui poussent des pieds vers le centre de la Terre. C’est un excellent excercice matinal pour un bon réveil énergétique.
Marcher pieds nus dans l’herbe.
Dormir, s’allonger ou s’assoir par terre.
Jardiner, faire pousser les racines des plantes, remporter des orchidées.
Faire pousser des graines germées dans sa cuisine.
Faire des travaux manuels : poterie, scupture, menuiserie.
Danser ou faire du sport, cela aide à être présent dans son corps.
Etudier son arbre généalogique.
Retourner sur la terre de ces ancêtres.
S’investir matériellement dans son lieu de vie, construire sa maison, s’installer confortablement dans son habitat.
Pour qui ces pratiques sont-elles importantes ?
Pour les personnes qui ont tendance à papillonner, à être dans la lune, dans leur tête. Pour les personnes qui voyagent en avion et on tendance à perdre le lien avec la terre. Pour ceux qui vivent en ville et on peut de relation avec la nature.
C’est un mot qui existe depuis une quarantaine d’année et qui ressurgit grâce à Emilie Wapnick et son incontournable Ted Talk. Le multipotentialiste est le contraire du spécialiste. On pourrait l’assimiler à un généraliste, mais finalement ce n’est pas exactement ça.
Le multipotentialiste est une personne curieuse, enthousiaste et créative qui aime découvrir de nouvelles thématiques. Sa curiosité l’engouffre dans un domaine, comme le zoom de Google Earth qui nous fait plonger dans une ville. Le multipotentialiste explore ce domaine avec passion, scanne chaque coin de rue. On l’appelle aussi le « Scanner » car il a cette capacité à trouver les signaux faibles dans un océan de données. Il filtre l’information pour remonter de sa plongée sous marine avec un petit détail, une pépite d’or.
Les avantages du multipotentialiste en entreprise
Voici quelques qualités que l’on reconnait aux multipotentialistes :
– Il apprend vite, mais se lasse vite d’un sujet
– Sa pensée est synthétique. Il fait des ponts entre les domaines qui l’intéressent
– Il a une forte adaptabilité
– Il sait passer facilement du’n mode de pensée à l’autre, un peu comme un traducteur ou un mathématicien qui traduit l’agèbre en géométrie.
– Il sait apporter de nouvelles solutions grâce à sa capacité à faire des liens entre les domaines. Il voit dans un match de golf la solution à une problématique de production.
– Il est enthousiaste et curieux, ce qui rend le travail agréable.
– Il s’épanouie dans la nouveauté et la diversité, sans quoi il pourrait s’ennuyer et terminer en burn-out ou pire … brown-out
– Il s’apanouie également dans un rôle de leader qui doit avoir une vision globale et mettre en relation différents type d’information.
C’est une personne qui dynamise une équipe dans une entreprise. Certaines sociétés ont même instauré des journées dédiée à l’activité du multipotentialiste, pour permettre aux salariés de découvrir les activités de leurs collègues. Ces journées permettent de créer des ponts entre différentes parties d’une entreprise, d’optimiser des dynamiques et de créer de l’innovation !
Les inconvénients du multipotentialiste
Il manque de mot pour se décrire : Dans le monde de l’entreprise il peut avoir du mal à se définir. Il sait tout faire, ou presque. On l’appelle aussi le slasher, quand on se réfère à la génération Y. C’est ce freelance qui se décrit dans sa biographie twitter comme Graphic-designer / Pianist / Writter car aucun métier ne correspond à l’ensemble de ses centres d’intérêt.
Distraction : Sa curiosité pour tout ce qui passe peut parfois être un véritable obstacle. Il a besoin de donner un sens assez important à ce qu’il fait pour ne pas être tenté de bifurquer à nouveau. Il gagnera en confiance en lui s’il arrive à approfondir dans au moins un domaine avant de faire des ponts entre les domaines.
Syndrôme de l’imposteur : Puisqu’il a du mal à approfondir dans un domaine et à éventuellement devenir expert, il aura du mal à se positionner. Il sait qu’il a beaucoup à apporter mais pour obtenir une certaine crédibilité il peut avoir besoin de démontrer une expertise dans au moins un domaine.
Dans le MBTI on peut associer la caractéristique N (intuition) au profil multipotentialiste. Ce qui représente environ 30% de notre société. Ceci explique pourquoi ces personnes ont du mal à trouver leur place dans un systhème qui est plutôt construit pour des spécialistes. Mais fort heureusement les multipotentialistes font leur comming out, et osent être eux même. Ainsi ils autorisent les générations suivantes à en faire de même. Plus nous ferons des liens entre les domaines, et plus nous réaliserons des innovations. Nous avons donc bien besoin des deux types de profils, les spécialistes et les multipotentialites sont très complémentaires.
Un excellent exemple de multipotentialiste est Mathilde Corbin qui associe des activités très diversifiées mais complémentaires et y trouve ainsi son équilibre. Elle est entrepreneuse, digital nomade, vendeuse en e-commerce, professeur en évènementiel dans une grande école, artiste amateur quand elle ne dort pas. Car oui, Mathilde anime également un blog à succès sur les problèmes de sommeil.
Nous avons tous des blessures d’enfance. Nos blessures conditionne notre comportement. Nous agissons chaque jour en fonction de nos peurs et des compétences que nous développons pour éviter de revivre ces blessures.
Il y a deux écoles dans l’étude des blessures d’enfance. Toutes les deux sont d’accord sur le fait que les blessures apparaîssent dans notre vie afin de nous aider à grandir et apprendre. Lise Bourbeau base sa théorie sur le fait que l’âme choisit avant de s’incarner la blessure qu’elle souhaite vivre pour la dépasser. Alors que l’ennéagramme part du principe que l’âme s’incarne dans la perfection et que ce sont les épreuves de la vie qui vont façonner la personnalité de chacun. Mais cet élément de discordance n’est pas très important pour tirer les enseignements de l’étude des blessures. L’objectif est de se comprendre, de prendre conscience de l’origine de nos peurs pour atteindre la guérison.
Lise Bourbeau est pionnière dans les questions des blessures d’enfance. Elle associe chaque blessure à un type de personnalité et une morphologie bien précise. Pour Lise nous avons chacune des 5 blessures en nous. Simplement une ou deux des blessures sont plus actives que les autres. Chaque blessure active ce que Lise Bourbeau appelle un masque. L’individu choisit ou non d’activer son masque, c’est à dire d’agir en fonction de sa blessure.
Pour résumer la vidéo ci-dessus, voici en bref les cinq blessures :
Rejet : La personne cherche à se faire toute petite, discrète, invisible afin de ne pas prendre trop de place. C’est le masque du fuyant.
Abandon : C’est le masque du dépendant, qui manque de soutient, cherche à attirer l’attention pour obtenir un peu d’amour. Il a tendance à se comporter en victime.
Humiliation : Ce masque est actif chez les personnes à morphologie ronde. Elles apprécient les petites choses. Le masochiste a honte de se faire plaisir que ce soir par l’alimentation ou au niveau sexuel.
Trahison : Cette blessure active le masque du contrôlant. Une morphologie qui s’impose et cherche à contrôler son environnement pour éviter de ne revivre sa blessure.
Injustice : Finalement cette dernière blessure est vécue par le masque du rigide, qui a tendance à se couper de ses émotions afin de prendre les décisions les plus justes possibles.
Pour aller plus loin on peut aussi associer une des blessures avec chaque profil de l’ennéagramme. Comme beaucoup d’autres test psychologiques, l’ennéagramme nous aide à nous comprendre nous même et à comprendre les réactions étranges des personnes de notre entourage. Chaque profil de l’ennéagramme est associé à un chiffre (cf l’illustration ci-dessous)
Humiliation : Réprimande d’un plaisir innocent
Solitude : Manque d’affection et de soutient
Manque d’estime de soi
Abandon : perte d’un lien
Insécurité : Intrusion dans la bulle, l’intimité
Trahison par l’autorité
Contrainte : Privation de liberté
Impuissance à agir
Manque d’amour
Il ne sert à rien de chercher à éviter de vivre ses blessures ou de les faire vivres à nos enfants. Quelque soit le comportement des parents, les enfants vivrons une des blessures en fonction de leur point de vue. Nos blessures nous aident à nous construire et à développer des qualités bien précises. Le travail sur soi nous permet de comprendre le message de nos blessures. Cette prise de conscience est une étape fondamentale dans la guérison.
Notre guérison nous aide à devenir une personne un peu plus complète et disponible pour réaliser ce qu’elle doit réaliser : Vivre dans l’amour, apporter de l’aide aux autres, apporter une contribution au monde, contribuer à l’harmonie …
J’ai eu la change le mois dernier d’assister à un énorme week-end de conférences à Pau. C’est la sixième édition du Symposium International. Et lors de ce week-end Baptist De Pape donnais une conférence sur son livre et film « L’infinie puissance du coeur » . Le hasard a voulu que j’ai acheté ce film quelques semaines plus tôt, j’ai donc été écouter cet auteur que je ne connaissais que de nom.
J’ai été touchée par la façon posée et ouverte dont il parle. J’aime bien Baptist De Pape, il m’inspire confiance, il parle avec le coeur. J’ai eu l’occasion d’écouter lors de ce même weekend des personnes qui parlaient avec la tête ou avec les tripes. La sensation est très différente. Baptist m’apaise avec ces mots et son message raisonne en moi comme une vérité. Tout raisonne avec mon expérience personnelle. Alors, qu’ai-je retenu de son exposé ?
Toute sa démonstration a pour but de nous aider à écouter et faire confiance à l’intelligence du coeur. Celle que nous n’écoutons pas quand nous faisons des choix dans la peur, ou pour faire plaisir à la société.
Pour accéder au but de notre vie, il faut suivre son coeur. Le mental ne sait pas nous indiquer le chemin. Le mental base son analyse sur son expérience passée alors que le coeur, comme le précise Baptist, peut voir les évènements avant qu’ils n’arrivent.
Crise existentielle
Je penses que l’on peut dire que Baptist De Pape a vécu une crise existentielle quand il a commencé à chercher le sens de sa vie. Il a quitté sa vie d’avocat reconnu pour harpenter la vie à la recherche d’un but. Il mentionne d’autres personnes dont c’est le cas, comme J.K. Rowling qui n’a pas écrit Harry Potter avant de ne se trouver dans une situation dans laquelle elle n’avait plus rien à perdre. Souvent nous avons besoin de tout perdre pour oser prendre le risque de créer ce pour quoi nous sommes venus ici. Pour oser devenir nous même.
Courage d’être soi
Notre réalité extérieure est le reflet de ce qui se passe à l’intérieur. Si tout s’écroule ou si les choses ont de la difficulté à se mettre en place, c’est que nous ne sommes pas encore alignés. Une fois que l’on a tout perdu nous sommes prêts à prendre des risques. Nous n’avons plus rien à perdre. C’est en prenant le risque de faire ce que l’on aime que la magie apparaît. Cela demande du courage que de changer d’identité pour incarner sa mission de vie.
Le courage (coeur-age) c’est de sauter à pieds joints dans la vie alignée à l’âme.
Manifester son âme en 5 étapes :
Reconnaître que l’on est une âme qui vit en dehors de ce corps. L’âme vit avant et après notre corps humain, incarné. Voir la vidéo ci-dessus sur l’expérience d’Anita Moorjani.
Réaliser que l’on a une personalité temporelle. Cette personnalité est séparée de notre âme. Nous pouvons donc nous désidentifier de cette personnalité terrestre. Ou encore mieux, changer de personnalité, la faire évoluer.
Créer un alignement Personnalité / Âme. En général c’est la phase de crise existentielle, la nuit noire de l’âme qui provoque ce changement. Mais les personnes ayant développé un certain courage d’être soi même peuvent également s’aligner sans avoir à vivre de trop grande crise. Nous espérons que de plus en plus il sera possible de s’aligner dans passer par cette phase douloureuse.
Identifier l’intention de l’âme. Demander à la vie ou à Dieu « Qu’attends-tu de moi? » « Qu’est-ce que la vie veut de moi ? » Plus on pose cette question dans nos prières, dans nos intentions, dans nos méditations et plus nous obtiendrons des signes pour nous guider. Les fameuses synchronicités.
Poser des intentions qui vont dans le sens de notre mission de vie. Si nous sommes alignés, tout se met en place avec facilité. La manifestation sur le plan physique est une conséquence d’une manifestation du plan mental. Si cela bloque sur le plan physique, c’est que nous manquons d’alignement. Ici Baptist suggère de challenger l’Univers en lui demandant « Si tu es vraiment cette intelligence, alors aide-moi ! »
Nous avons tous plus ou moins rencontré ce type de relation. Une relation qui nous prend, qui nous hypnotise. Une relation qui ne nous fait pas de bien, voir qui nous détruit d’une certaine façon. Mais on ne sait pas pourquoi, on a du mal à couper les liens avec cette personne. Cette relation devient notre raison de vivre. Nous ne nous voyons plus capable de vivre sans faire partie de cette personne.
On peut se poser la question « Est-ce nouveau dans notre société ? Nos ancêtres vivaient-ils des relations aussi toxiques que celles que nous vivons actuellement ? » Je n’ai pas de réponse à cette question, même si mon intuition me dit que cela semble assez nouveau dans notre société de créer autant de relations aussi toxiques. Nous n’avons jamais entendu autant parler de pervers narcissiques que dernièrement.
5 signes qui indiquent que je suis dans une relation toxique
Comment savoir si je suis dans une relation avec une personne qui ne me veut pas du bien ? Voici quelques signes pour nous aider à identifier de telles relations.
Je m’interdis d’évoluer. Je me limite dans mes projets.
J’ai le sentiment de ne jamais être assez bien.
Je ne suis pas aussi importante que l’autre. Je n’existe pas. Mes opinions ne sont pas entendues.
Je ne suis pas à l’aise en présence de cette personne. J’ai du mal à être moi même avec elle. Je ne me reconnaît pas.
Ma joie de vivre disparaît. Je suis asséché, fatigué, épuisé. Mon étincelle de vie s’amoindrie.
Les conséquences d’une relation toxique
Lorsque nous sommes engagé dans une relation toxique, nous lui donnons une importance disproporsionnée. Cette relation prend beaucoup de place dans notre vie. Nous nous rangeons à un second plan au profit de la relation, et ça, ce n’est pas bon pour notre propre survie.
La relation devient une troisième entitée. Pour créer une relation, nous avons besoin de deux personnes, par exemple un homme et une femme. Une fois ensemble ils créent la relation, dans ce cas le couple. Cela peut-être un binôme, un partenariat, une amitié, … Une relation n’est pas forcément toxique ou néfaste. Elle le devient si une ou deux personnes de la relation lui donne plus d’importance qu’à elle même. Si l’aura de la relation est plus nourrie que celle des deux personnes individuelles, alors là cela devient dangereux. Il se peut aussi qu’à travers la relation toxique, l’une des deux personnes en ressorte fortifié. On peut alors parler de personne toxique, de pervers, de manipulation, de narcissique ou sociopathe. Un éventail de variantes à disposition.
Lorsque l’on est enroulé dans une telle relation, notre énergie va diminuer. On perd confiance en soi et on peut aller jusqu’à la dépression. La vie devient triste et perd de son sens. Les projets n’avancent plus, la motivation disparaît. Une telle relation empêche ses victimes d’exprimer leur plein potentiel et d’incarner leur mission de vie.
Les personnes prédisposées
Existe-t-il des personnes plus susceptibles de tomber dans le piège des relations toxiques ? A priori tout le monde en est capable. Mais il est vrai qu’en fonction des grilles de lectures il existe certains profils plus succeptibles. On parle souvent des empathes qui se retrouvent emmélés dans des relations fusionnelles avec les narcissiques.
Dans l’étude du MBTI les personnes disposant des lettres E et F pourraient également être disposées à faire passer les besoins des autres avant leur propre besoins. L’extravertit puise son énergie au contact des autres et peut avoir tendance à s’intéresser plus aux nécessités de son partenaires qu’aux siennes. Alors que la personne Feeling cherche l’harmonie dans les relations. Celle ci a tendance à faire ses choix en fonction de l’impact qu’il a sur les autres.
Une personne souffrant de la blessure d’Abandon active la peur de la solitude. Le dépendant cherchera donc à tout pris à nourrir la relation au dépend de sa propre santé. Pour le dépendant il semble qu’il serait trop douloureux de se sentir abandonné et donc seul. Il préfère rester dans une relation aussi destructrice qu’elle pourrait être, afin d’éviter de vivre l’abandon.
Bien entendu, ces prédispositions ne sont pas exhaustives. Elles sont simplement un exemple de lecture. De façon générale plus nous avons des blessures non guérries, et lus nous nous exposons à des relations toxiques. Ces relations auront l’avantage de mettre en lumière les blessures sur lesquelles nous pouvons travailler.
Le mécanisme des relations destructrices
Jean-Jacques Crèvecoeur a identifié dix habitudes relationnelles qui nous empoisonnent la vie. Voici donc le mode d’emploi pour créer des relations toxiques autour de nous :
Attendre que l’autre me rende heureux
Interpréter ce que l’autre n’a pas dit
Se raisonner. Ne pas se fier à ses émotions et ressenties physiques, mais plutôt prendre des décisions grâce au mental calculateur.
Faire des concessions inacceptables
Prendre en charge le besoin de l’autre, sans qu’il n’en fasse la demande
Eviter la confrontation
Finir par exploser et accuser l’autre de me faire faire des choses innacceptables sans qu’il ne me l’ai demandé
Rêver de recommencer à zéro, de reprendre au début
Patienter et espérer qu’un jour les choses changeront
Répéter les mêmes erreurs, encore et encore
Nous avons tendance à croire que lorsque l’on connait bien une personne nous somme sensé anticiper ses besoins. Petit à petit nous oublions de lui demander « Qu’est-ce qui te ferai plaisir ? » Nous prennons pour acquis que ce que je pensais qui lui plaisait l’an dernier lui plaira également aujourd’hui. Nous oublions tout simplement de poser les questions directes et sincères. Ainsi nous nous lançons dans des projets pour faire plaisir à l’autre sans avoir vérifié que c’est bien le cas. Afin de rendre l’autre heureux, et de renforcer la relation, nous mettons nos propres besoins de côté. Ainsi on se concentre à donner et on coupe l’arrivée d’énergie qui nous nourris. Au bout d’un moment nous nous détruisons car nous ne nous nourrissons plus. Et quand nous sommes à bout nous accusons l’autre de ne pas avoir pris en charges nos besoins.
Comment s’en sortir ?
Commençons par comprendre notre part de responsabilité dans cette relation. Une relation se crée à deux, donc 50% de la responsabilité me revient. Je suis donc capable de reprendre les rènes de ma vie.
Comprendre que le bonheur ne vient pas de l’autre. Je suis la seule personne capable de me rendre heureux.
Avant de me demander ce qui ferait plaisir à l’autre, suis-je capable de savoir ce qui me ferais plaisir à moi même ?
Avant d’accuser qui que ce soit de ne pas avoir répondu à mes besoins, je me pose les questions : Suis-je capable d’y répondre moi même ? Ai-je formulé clairement à mon partenaire mon besoin ? Est-il capable de répondre à mon besoin si moi même je ne suis pas capable ? Si je ne prends pas soin de moi, qui le fera ?
Je me valorise. Je prends soin de moi avant de ne donner trop d’importance à cette personne et ma relation avec elle.
La peur nous fait croire que nous n’avons pas le choix. Mais nous avons toujours le choix. Je peux faire le choix de mettre fin à une relation avec quelqu’un pour me protéger.
Développer mon intuition, elle ne se trompe jamais. Faire confiance à mon ressentit physique et émotionnel plutôt qu’au mental qui renferme toutes mes peurs. Ne pas laisser trop de place à mon mental calculateur dans mes choix.
J’espère que ces éléments t’aideront à y voir plus clair et à prendre le courage de t’aimer toi même avant tout. Si tu as besoin d’en parler, je propose des séances de coaching. Il existe aussi des groupes de discussion sur internet et Facebook pour échanger avec des personnes qui ont les mêmes problématiques.
La gratitude est cette émotion qui nous remplie de joie, de satisfaction et nous fait sourire. Que l’on se sent bien quand on ressent de la gratitude. Il est jouissif d’être reconnaissant. Mais peut-on provoquer cet état d’être ? Mes ( exercices de gratitude pour une vie épanouie.
La gratitude est d’une des émotions dont la fréquence vibratoire est la plus élevée. On le voit bien sur l’échelle des émotions ci-dessous.
Nos pensées provoquent des émotions en nous. Nos émotions ont une influence sur nos ressentit physique et sur la santé de notre corps. Nous sommes capable de choisir les pensées qui nous traversent. Nous sommes donc capable de choisir les émotions que nous souhaitons ressentir pour nous sentir bien et avoir une santé du tonnerre.
Comment ressentir de la gratitude ?
S’il est possible de ressentir de la gratitude quand tout va bien, ce n’est pas toujours aussi simple quand rien ne va plus. Il existe des techniques pour cultiver la gratitude chaque jours. Les émotions et les pensées sont des petites graines que nous semons dans notre jardin intérieur. Les plantes que nous récoltons aujourd’hui sont le résultat de ce que nous avons semé hier.
Alors décidons dès aujourd’hui de semer régulièrement de belles plantes de gratitude, de joie et de bonheur dans notre jardin d’émotions. Pour cela, je mets en place des petites habitudes qui m’obligent à développer le sentiment gratitude.
1- Mon cahier de gratitude
Tous les soirs, j’écris sur mon cahier les cadeaux que la vie m’a offert aujourd’hui. En écrivant, je prends le temps de remercier la vie pour chaque instant, chaque surprise qu’elle m’a réservée. Dans mon bullet journal, j’ai une page dédiée aux kiffs du mois. J’essaye d’en noter un ou deux par jours. Je relie régulièrement mes kiffs des mois précédents, et ça m’aide à me rendre compte que je suis vraiment bénie.
Relire mes gratitudes m’aide à se sentir chanceuse.
2- Ma To-Do List
Dans mon Bullet Journal, je note souvent trois tâches à réaliser le lendemain. Cela m’aide à me concentrer sur l’essentiel avant de m’éparpiller dans d’autres tâches. Sur les pages quotidiennes, j’aime bien noter sur la gauche 3 à 5 tâches à faire. Sur la droite, comme il me reste un peu d’espace libre, je note le soir 3 gratitudes à la volée. Cocher mes tâches m’aide également à ressentir une bonne dose de satisfaction. Savoir que j’ai atteind mon objectif du jour m’aide à me sentir bien. Quand je me sens bien, je suis plus disposée à ressentir de la gratitude pour la vie.
3- Ma formule magique
J’utilise une phrase magique pour réactiver la gratitude dans ma journée : « How does it get any better than this ? » (Comment cela peut-être encore mieux ?). Cette phrase m’aide à me connecter aux cadeaux que la vie m’a déjà envoyé, à tout ce que j’ai déjà. Je ressens ensuite de la gratitude et j’en demande encore plus. Faire des demandes dans la joie de la gratitude donne beaucoup de puissance aux demandes.
4- Ma méditation du matin
« Méditation » c’ est un bien grand mot qui peut faire peur. En fait c’est un simple moment de calme dans lequel on concentre notre attention sur un élément. On peut méditer en observant notre respiration, en visualisant nos objectifs, en explorant une problématique, en accueillant nos ressentits physiques … Moi, le matin, je médite quelques minutes après ma séance de Yoga. Je me concentre quelques minutes sur ma respiration. Ensuite je me connecte à la nature autour de moi : l’arbre dans la cours, le vent, le soleil, la pluie, le chant des oiseaux … Finalement je me plonge dans un bain de gratitude. Je ressens cette émotion dans mon corps et j’observe (les yeux fermés) la beauté de chaque élément autour de moi. Je remercie l’oxygène de m’aider à respirer. Je remercie le soleil de faire brillet les feuilles des arbres.
Après un tel bain de gratitude, la journée commence dans la bonne humeur.
5- La magie du rangement
Tu as sûrement entendu parlé du livre de Marie Kondo « La magie du rangement ». Dans son boukin, elle donne plusieurs astuces pour s’entourer d’objets qui nous remplissent de joie. Une habitude qu’elle propose est celle de replacer chaque objet à sa place le soir en le remerciant pour son service. J’ai adopté cette habitude l’an dernier. Remercier, tous les soir, mes chaussures de m’avoir porté a changé ma vie. Quand je venais de passer une journée horrible dans laquelle il était difficile de trouver un motif pour être heureuse, je pouvais au moins remercier mes chaussures, mon lit et mon pyjama. Ils avaient le mérite d’exister et de m’aimer. Je te conseille cette pratique si tu es persuadé que tu n’as absolument aucun motif pour ressentir de la gratitude. Essaye. Vraiment.
Depuis plus de trois mois maintenant, j’ai intégré la pratique du Yoga tous les matins dans ma routine quotidienne. Cette pratique m’aide à réveiller mon corps, à me sentir bien dans ma peau dès le réveil. Le Yoga se termine logiquement par quelques minutes de méditation, de calme et de respirations. Ce qui a l’avantage de m’amener à une méditation sans y réfléchir. En pratiquant le yoga j’ai ajouté sans effort mes 10 minutes de méditation systématique. Mes étirements du dos le soulagent et les douleurs sont moins fréquentes. J’arrive à intégrer les excercices que me donne l’ostéopathe dans ma routine.
Après avoir fuit tout concept s’apparentant de près ou de loins à une routine, je comprends finalement maintenant les bénéfices d’une routine. Une routine est une suite de gestes fait de manière automatique, sans avoir besoin d’y dédier trop d’attention. Une routine a besoin d’un élément déclancheur pour démarrer. Elle est adoptée si la personne qui pratique cette routine en reçoit un bénéfice immédiat. Nous sommes déjà acteurs de milliers de routines quotidiennes, qui agissent de façon inconsciente. L’avantage de mettre en place des routines en conscience c’est que l’on peut ainsi influencer les résultats de nos journées.
La routine est une façon de pirater notre systhème de pilote automatique pour lui faire faire des actions constructives. Ensuite on peut simplement traduire un objectif moyen terme en routine quotidienne. Par exemple, je me fixe comme objectif de tonifier mon corps, d’avoir moins mal au dos, de méditer plus souvent. Donc je mets en place ma routine en incluant assez d’éléments pour répondre à tous mes objectifs. Je choisis de faire une routine courte, car je préfère prendre le temps de faire 5 à 10 minutes de yoga tous les matins plutôt que de ne pas prendre l’habitude d’en faire.
Oui, avec 5 minutes de Yoga par jour pendant trois mois, je constate déjà les bénéfices.
Element déclencheur : Je me réveille et me passe un peu d’eau sur le visage
Routine : Je prends mon tapis de Yoga sur l’armoire, et je démarrer ma salutation au soleil. Je termine par quelques minutes assise en tailleur à respirer et méditer.
Récompense immédiate : Je me sens réveillée, reconnaissante de vivre une nouvelle journée et mon dos est soulagé.
Ma routine évolue régulièrement en fonction des nouvelles postures de Yoga que je découvre et dont mon corps ressent le besoin. Mais j’essaye de garder quelques éléments clés pour une salutation au soleil équilibrée :
Des étirements du dos
Des positions d’ouverture
Des contres postures en fermeture
Des torsions pour nettoyer les organes
Des respirations pour agir en conscience
Une méditation dans la gratitude
J’aime le concept de saluer le soleil le matin. Je le fait comme une marque de respect pour un être qui existe depuis bien plus longtemps que notre planète. J’aime aussi sentir la Terre sous mon corps, et je la remercie aussi d’être là. Elle me porte depuis ma naissance et sera toujours là pour me supporter. Je remercie l’air que je respire et dont ma vie dépend. Je suis reconnaissance pour toute cette abondance d’oxygène que je ne saurai fabriquer. J’écoute avec malice le chant des oiseaux, le vent dans les arbres. Je regarde le scintillement doré du reflet du soleil sur les feuilles des arbres.
Ces quelques éléments simples m’aident à démarrer la journée dans la gratitude et d’admiration pour la nature et la vie. Je suis heureuse d’avoir fait entrer le Yoga dans ma vie.