Yahoo m’interviewe sur ma vie sans frigo

La semaine dernière une journaliste m’a contacté pour en savoir plus sur ma vie sans frigo. Je ne sais pas pourquoi, mais le fait que je vive sans cet armoire à glace semble intriguer beaucoup autours de moi. C’est d’ailleurs le sujet de ma première vidéo Youtube, qui a un succès fou !

Yahoo

Nous avons rencontré Lucie Diez, jeune coach de vie qui a décidé il y a plus d’un an de débrancher son frigo. Une décision qui pourrait passer pour un caprice de “bobo écolo”, mais qu’elle justifie de façon pragmatique.

Et si l’on était tous amenés à se passer de frigo dans quelques années ? “Débrancher mon frigo m’a enlevé des tentations” C’est au moment où elle quitte sa colocation pour vivre seule, que Lucie trouve son frigo tout à coup encombrant : “il était énorme, faisait beaucoup de bruit, et je me suis aussi rendue compte que c’était ce qui consommait le plus d’électricité dans mon appartement”.

Pour Lucie, engagée dans une démarche de “mieux manger”, le fait de débrancher son frigo a aussi été une façon d’éloigner les tentations. “Cela m’oblige à manger des aliments plus vivants […]

Je fais par exemple mes conserves maison plutôt que d’acheter des plats tout préparés”, affirme celle qui a cependant été contrainte de modifier toute son organisation…

“Aujourd’hui, je fais des courses plus souvent…”

Vivre sans frigo, c’est aussi ne plus pouvoir conserver aussi longtemps certaines denrées indispensables à l’élaboration de nos repas, ce qui engendre de nouvelles habitudes d’achats. Lucie, qui faisait auparavant ses courses “une fois par semaine en revenant chargée”, doit aujourd’hui les faire “tous les trois jours en moyenne, avec des montants inférieurs et en revenant avec des sacs plus légers. Tout cela m’oblige à manger plus frais et plus vite, car je ne garde les aliments que j’achète que trois jours chez moi en général”, explique la coach de vie.

Une démarche qui incite généralement à privilégier les circuits courts où l’on se ravitaille aux grands supermarchés où l’on “fait le plein”. “Le fait de vivre en Italie m’a aidée pour ça, car là-bas la grande distribution ne fonctionne pas trop, je faisais mes courses dans des petites boutiques” explique Lucie.

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